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Archive pour

Les colporteurs pourront continuer de crier

cris des colporteurs

Les colporteurs montréalais s’inquiétaient. La Ville s’apprêtaient à leur défendre de crier dans les rues, chemin faisant, juchés sur leur voiture, pour annoncer leurs produits. Lire la suite

Voilà le journaliste Jules Fournier à Avignon

jules fournier decouvre avignonÀ 25 ans, le jeune Jules Fournier, journaliste, se paie un grand voyage en France. Lire la suite

On n’en a pas fini avec la comète

retour de la cometeEn 1910, la comète de Halley a fait beaucoup parler, au Québec à tout le moins. Lire la suite

Un citoyen de Trois-Rivières se met à rêver

avionAllez, ne lui coupons surtout pas les ailes maintenant. Il envoie une lettre au quotidien montréalais La Patrie. Ce dernier la publie le 11 juin 1910. Lire la suite

Dans la série «Là où me mènent mes ânes» (6)

350 chansons anciennes (Paris, editions ouvrieres, 1962)

Après la rencontre en octobre 2015 de trois ânes sur ma route, j’ai créé une catégorie sur l’âne apparaissant dans les catégories, à droite sur la page de ce site. Lire la suite

En 1910, Montréal est d’une pauvreté culturelle navrante

montreal square victoria

Ainsi s’écrie un Anglophone de la métropole Et le quotidien La Patrie reprend son propos le 10 juin 1910. Lire la suite

Qui sont ces insectes ?

insectes a grand mereLa nouvelle parvient de Grand-Mère, à 50 kilomètres au nord de Trois-Rivières. Lire la suite

Renée Claude, «Ton sourire»

Ton sourireChant d’amour magnifique.

Paroles de Robert Gauthier et musique de François Dompierre. Lire la suite

Weedon, en amont du lac Aylmer, entre Sherbrooke et Thetford Mines, sera dans le noir pour un moment

two miles fallUn accident survenu au pouvoir de Two Miles Fall est cause que nous sommes privés de la lumière électrique et que nous le serons encore quelque temps. Lire la suite

Une fleur qui m’était absolument inconnue

Giroflee sauvage un

À l’emplacement de ma grange disparue voilà un an, une fleur magnifique apparaît cette année. Mon amie Christiane, que je taraude à chaque épiphanie de cette sorte, m’écrit : Lire la suite