La nouvelle nous parvient de Papineauville
Elle paraît dans La Patrie du 28 janvier 1905.
Les mauvaises langues disent qu’une de nos plus charmantes jeunes filles, patineuse émérite, suivant l’expression qu’une amie intime lui a donnée l’an dernier, nous laissera pour aller habiter la Métropole, au grand désespoir d’un de nos concitoyens que l’on croyait célibataire endurci.