Avec qui vivons-nous ?
Les autres êtres vivants qui nous environnent — l’animal, le végétal — ont bien sûr une connaissance du monde qui les entoure. Et nous ne savons guère les réactions qu’ils peuvent avoir au contact de ce qui les environne, même des conditions naturelles du milieu ou des chocs que nous leur ferions subir.
Sur ce site internet, vous trouverez à droite, dans les «Catégories», sous «La nature», une sous-catégorie appelée «Les portes» qui veut être le début d’une réflexion à ce sujet. L’humanité est peut-être à l’aube d’une meilleure connaissance de cet univers insoupçonné.
Mon ami Simon Hains me met sur la piste de cette vidéo du Smithsonian Chanel. Voyez cette plante qui montre une réaction à l’agression qu’on lui fait subir, comment on arrive à «lire» qu’elle réagit à la douleur.
Merci, cher Simon.
Comme j’explique à mes clients attirés par le végétarisme. Il n’y a pas de forme de vie supérieure aux autres, la vie se nourrit de la mort peut importe notre choix. Et une plante vit mieux sur un compost mixte qui comporte des cadavres d’animaux. Une plante, c’est omnivore par ses racines. Et on découvre de plus en plus leur vie. Comment un arbre près de la rivière amène l’eau à l’arbre plus eau sur le terrain par ses racines.
Notre déconnexion de la provenance de nos aliments nous fait tomber dans une sensiblerie que ne pouvait se permettre nos ancêtres. Ce n’est pas de manger un être vivant, plante ou non qui est le problème. C’est la manière et le respect avec lesquelles nous effectuons cet acte!
L’élevage industriel n’est pas mieux que l’extermination de 60 millions de bisons pour semer les champs de la mort des céréales, engraissés et récoltés à grand coup de pétrole.
Juste une réflexion comme ça :)
Merci beaucoup, Harry. Tout à fait : manière et respect.