Et je vois Cherkasy, en Ukraine
Google me dit, cher visiteur, ou peut-être visitrice, que vous venez de passer une quinzaine de minutes avec nous. Ne vous inquiétez pas, je ne sais rien davantage de vous, sinon votre lieu de vie.
Je ne travaille pas pour quelque police que ce soit, absolument pas. Tout, vraiment, est entre nous. Quel plaisir de vous savoir là ! Sûrement en français alors, vous semblez connaître cette langue, dites donc.
Quoi vous dire ? Tenez bon. Vous savez, on vous reçoit à distance. On se préoccupe aussi de ce qui vous advient. Les nouvelles nous parviennent quotidiennement. Tenez bon. Nous savons qu’il faut vous battre pour ce que vous êtes.
Ici, nous sommes dans l’austérité, même si notre gouvernement ne le dit pas, il cherche à imposer des périphrases pour qualifier ses gestes. Régime sec donc. Nous ramons. Nos policiers tirent des capsules sur nos beaux enfants qui manifestent, ne faisant que les défigurer. Mais espérons que ça va aller.
Nous avons oublié que jamais nous ne leur avons proposé de projets emballants, porteurs. Devant, y’a que vide, dirait-on. Je les comprends tant.
Tenons-nous, gens du monde qui espérons un monde vraiment nouveau.
Merci d’être là, Ukrainienne, Ukrainien que Vous êtes. Tenez, diable.
La photographie de Tcherkassy en 1910 provient de la page Wikipédia consacrée à Tchekassy.
MERCI, cher Jean!
Ce message est si important, et venant de vous encore plus!
Je le ferai transmettre pour que cela arrive aux oreilles des Ukrainiens.
Mais postez -le, vous aussi sur les sites de l’intelligencia ukrainienne.
Il me semblait important, chère Melinda, d’envoyer ce message à cette personne qui a passé une quinzaine de minutes sur le site, comme une bouteille à la mer, sans savoir si elle reviendra un jour.
Oui, transmettez-le, je Vous en prie, si Vous avez des contacts. Je pourrais bien aussi le poster sur des sites d’intelligencia ukrainienne, mais je suis bien loin et n’ai pas de prises, ne connaissant aucun organisme, ni personne.
Ce touchant message solidaire avait échappé à ma lecture de votre blog…
Que dire d’autre que MERCI de ces mots, solidaires, posés là pour eux, et pour nous, ce « nous » dont vous êtes. Pour tous ceux qui croient encore à la lumière, quelque part. « Il vaut mieux allumer une bougie que maudire l’obscurité. » Merci.
Vive la solidarité, quoi !