Nos enfants sont précieux
Êtes-vous mère ? Êtes-vous père ? Oui, d’accord, c’est là une responsabilité pour la vie. Mais, mère ou père, on connaît des joies dont on ne nous avait pas prévenu. On savait le plaisir des premiers mots d’un enfant, mais, tout au long, le bonheur de leur présence attachante prend diverses couleurs.
Une amie me racontait la semaine dernière le bonheur de leur fille du début de la trentaine au salon mortuaire. Alors, que les larmes coulaient sur ses belles joues, celle-ci allait déposer calmement une fleur près de l’urne contenant les cendres de sa grand’mère. Cela fit naître des larmes chez sa mère et son père. Des larmes non pas de deuil, mais de grande beauté du geste.
Mon fils Sébastien, lui, mon maître en informatique depuis le début des années 1980, me faisant découvrir le bonheur de l’ordinateur, mon soutien maintenant pour ce site interactif, apparaît dans une courte vidéo parmi les 33 blogueurs de la campagne Prospérité.Québec (https://www.youtube.com/watch?v=iCsU7tr3XTo&feature=youtu.be). Ma fille Emmanuelle, elle, à Montréal également, est devenue spécialiste des analyses de produits.
Et le père ? Bien fier.
Nos enfants sont précieux.
Ci-haut, une photographie d’Anne-Marie Guérineau.
Il arrive que nos enfants comprennent mieux que nous le sens, ou le non-sens, de la mort.
Christiane
Et s’en trouvent peut-être un peu épargnés ?
Ma fille, Emmanuelle, bien qu’ayant 19 ans maintenant n’a jamais eu cette candeur par rapport à la mort. Elle l’a trouve inquiétante… je crois que nos enfant héritent souvent de nos appréhensions devant l’inconnu…
C’est fort possible. Et il nous faut être bien respectueux des attitudes diverses, je trouve.