N’en avoir que pour les promesses
Depuis bientôt 40 ans, quand surviennent ces jours doux et silencieux de mars, j’ai toujours l’impression que la Nature en est à son huitième mois de grossesse, que tout va basculer sous peu.
La réconciliation avec la vie. Le réattachement.
Pour lancer l’accouchement, les oiseaux noirs seront là d’abord, brisant ce silence avec leurs concerts disparates. Musique brisée pour commencer.
Un commentaire
Publier un commentaire
On a hâte d’accoucher de chaleur et de beau temps ! Oui, les oiseaux noirs briseront le silence ! Sauront-ils que leur musique, même criarde, nous apportera espoir et délivrance !