Les policiers de Montréal en deuil
Sénécal est mort en se rendant au feu. La Patrie du 3 juillet 1890 rapporte la nouvelle.
Les policemen versent un pleur, ce matin, sur le sort du pauvre Senécal, le chien fidèle, mort victime de son devoir. Il courait, hier soir, sentinelle vigilante, à la première alarme d’un incendie qui venait d’être sonné, lorsque la roue de l’une des voitures de pompiers lui est passé sur le corps, et lui a infligé des blessures tellement graves qu’il a rendu le dernier soupir à minuit et demi.
On a décidé de le faire empailler.
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