Pour la progéniture
À voir les oiseaux se balader des insectes plein le bec, l’heure est à la maternité et la paternité.
Ce merle me fait bien rire. Il se promène ça et là avec sa chenille qui lui fait moustache sans jamais l’avaler. Finalement, je comprends son manège. Il cherche à me déjouer, à me perdre, à m’égarer, me mettant sur de fausses pistes, ne se rendant pas directement à son nid pour éviter que j’apprenne là où celui-ci se trouve.
Gamin !
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