Car chaque jour où je les aperçois maintenant est peut-être le dernier de l’année. Chez moi, historiquement, ils partent vers le Sud entre le 15 et le 18 septembre.
Aujourd’hui, les trois sont toujours là. Aussi enjoués qu’hier. Se poursuivant. Espérant la paix à l’abreuvoir. Et j’y prends plaisir.