J’ai échappé ma pelouse
Bien oui, avec toute cette pluie, il m’aurait fallu un tracteur pour la tonte. Avec une simple tondeuse, je dois mettre près de quatre heures de travail. Mais, ce printemps, les créneaux s’offrant à moi étant fort rares, j’ai échappé ma pelouse, devenue un grand terrain de fleurs. Et vous imaginez que toute une variété de papillons se présente maintenant. Le grand bonheur de ne jamais avoir utilisé de pesticides. Les couleurs qui se multiplient. Et la vie qui n’a de cesse de se proposer pour prendre la place de la pelouse tondue. L’Arche qui n’a jamais si bien porté son nom.
8 commentaires
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Cours pelouse, cours! Va par là aussi! Peut-être ne tondre qu’un bout pour le merle?
Je n’ai pas oublié le merle, cher Roger. Il a pour lui toute la partie à l’ouest de ma maison, tout le devant de ma grange. D’ailleurs, ils sont en couple en ce moment et apprécient que j’aie sauvé un espace de pelouse tondue.
C’est magnifique ! Du laboratoire au paradis il n’y a qu’un pas.
Merci pour ce partage qui me donne envie de courir après les papillons au nord de ma cité.
C’est une véritable beauté que de les voir, chère Vous. Un véritable don.
Vos photos sont magnifiques Jean ! Je vois que les épervières sont en plein essor ainsi que les marguerites que j’adore. Bonne fin de semaine !
Très belle journée à vous, chère Nicole.
Merci Jean ! Elle s’annonce ensoleillée plein ciel. à mon réveil chant de corneille, moineaux et tourterelle…….. polyphonie en un seul et même concert……. que je souhaite aux humains de toutes les langues. Le tout à la mesure de la joie.