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Archive pour

Le lilas et les papillons

Aimez-vous les papillons, ces êtres de grâce ?  Oui. Alors courez vous chercher un lilas, même si, bien jeune encore, il n’arrive à fleurir que dans deux ou trois ans. Lire la suite

Ma librairie ferme

À mon arrivée à Québec en 1964 pour mes études universitaires, ma première librairie en fut une, petite, rue Myrand à Sainte-Foy, tenue par une dame de belle culture et de grand respect, Claire Bonenfant. Lire la suite

Le personnage de cocher

C’est bien le quatrième texte que je vous propose de Colombine. La dernière fois, elle nous invitait au marché de Pâques, le plus beau, le plus réjouissant marché de l’année. Lire la suite

Elle était si belle !

Il y a quelque trente sept ans passées, par un beau jour de mai, une jeune fille de seize ans, d’une famille fort respectable, disparaissait de la bonne vieille ville de Québec. Elle était d’une beauté remarquable et remplie de talent et d’esprit. Lire la suite

Je prends plaisir à la présence de ce bel oiseau

Il a choisi, encore une fois, mon lieu de vie. Vous vous souvenez, il s’agit du Moucherolle phébi. Lire la suite

Éloge du mois de mai

Le 20 mai 1899, un quidam se sentant plein d’allant se lance dans l’éloge du mois de mai. Discours bien de ce temps, il paraît dans l’hebdomadaire L’Écho des Bois-Francs. Lire la suite

Vivre aussi d’espérance

Mon beau nichoir à hirondelles est devenu au fil des ans un nichoir à écureuils, je vous le disais. Or, après la sortie du jeune écureuil, je suis monté enlever le nid d’écureuil. Lire la suite

Le bonheur de la mare

Des millions d’années que nous y fûmes, absolument confortables, avant que les premiers, ne sachant absolument pas ce qui les attendait, entreprennent de tenter la sortie. Les faits forts. Et, qui sait, espérant davantage. Lire la suite

Ah ces devins !

Encore un qui se lance en 1899 à prédire l’avenir pour le nouveau siècle. Le 6 mai 1899, sous le titre «Le 20e siècle», L’Écho des Bois-Francs lui fait de la place. Lire la suite

Améliorons le français québécois

À la fin du 19e siècle et au début du 20e, des enseignants français viennent à Montréal pour quelques semaines prononcer des conférences publiques, en particulier sur les grands de la littérature de là-bas. Le 5 avril, nous rappelions sur ce site le passage de René Doumic qui entretenait l’auditoire de Lamartine. Lire la suite