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Archive pour

Et les toiles se tendent

Beaucoup d’insectes sont maintenant revenus. L’espérance est au repas.

Les pruniers sont en fleurs !

Arrêtons de battre nos enfants

Le 5 mai 1904, le journal montréalais La Patrie y va d’un éditorial sur les coups que les enfants reçoivent de leurs parents. Lire la suite

Changer de fatigue

Journée physique. Journée d’émondage des traces laissées par l’hiver. Changer de fatigue. Passer de la fatigue intellectuelle à la fatigue physique repose.

Le Bruant familier

Claude Melançon, dans Charmants Voisins (1940), dit qu’on l’appelle Titit ou Moineau. Les scientifiques parlent plutôt de Bruant familier (Spizella passerina, Chipping Sparrow). Lire la suite

Les dernières heures de la Louisiane française

Voilà un événement si loin maintenant pour nous que nous ne l’évoquons plus : la Louisiane est vendue aux États-Unis par la France au printemps 1803. Lire la suite

Le chemin parcouru depuis quatre mois

Une première photographie prise hier, une seconde, le 5 janvier dernier. Il y a quatre mois, tout dormait; maintenant, tout renaît. Le vert tendre commence à se définir. Lire la suite

La mise en terre des morts de l’hiver

En 1900, il y a de ces moments printaniers dont il faut bien parler, quoique tristes. Pendant l’hiver, la mort a réclamé son tribut. Alors, on plaçait les défunts dans le charnier. Le printemps venu, la terre dégelée, il faut maintenant ensevelir les morts. Dans les villages, l’opération est modeste; mais, à Montréal, elle est de grande envergure. Les tombes portent même un numéro. Lire la suite

Mais qu’est-ce ?

Et je marche et marche. Disponible. Cherchant à détecter tout près ou à distance ce qui m’aurait échappé jusqu’à aujourd’hui. Soudain, mais qu’est-ce ? Approchons. Lire la suite

Tant et tant de chatons

Parfois, au printemps, j’ai l’impression que tout mon grand terrain est une saulaie. Et cela fait le bonheur des premiers insectes à se présenter. Et le mien, insecte moi-même. Lire la suite