Bienvenue
Un site internet interactif de ma part, qui l’eût cru ? Je ne monte pas dans ce train avec tambour. Il y a tant de bruit sur la Terre. Je ne veux pas ajouter à la polémique. Je ne suis pas là. J’espère un foyer, un lieu de partage, d’échanges, de découvertes mutuelles. Et j’allais rajouter dans le calme et la tendresse.
Une bien belle amie, Élyse Gariépy, m’a convaincu de cette démarche et pris par la main. Tu me racontes, dit-elle, ce que tu vis dans tes recherches, dans tes rencontres avec le public, dans les bibliothèques ou ailleurs. Tu me parles d’échanges enrichissants. N’as-tu jamais pensé à un site 2.0 ? Explique-moi que je lui ai répondu.
Élyse et moi avons travaillé à la conception et à la réalisation de cette toile originale, née du thème Linen de The Theme Foundry, sur la plate-forme WordPress. Je l’en remercie infiniment. Me voilà donc équipé pour communiquer.
En positionnant votre curseur sur chacun des éléments du menu apparaissant sur la ligne du haut de ce site, vous aurez immédiatement une idée de son contenu, qui se développera au fil du temps. À noter qu’un clic de souris sur la plupart des images permet de les voir de plus près. Vous trouverez aussi à droite de l’écran d’autres manières d’accéder au contenu. Et, en regard de ce qui s’y trouve, vous pouvez réagir, laisser un commentaire, nous donner à partager.
E la nave va, dirait Fellini. Et vogue maintenant le navire… Je nous souhaite bon vent.
Et ne soyez pas surpris, nous nous retrouverons souvent dans la marge. Nous privilégierons le second degré, celui qui se cache derrière la banalité des jours, la banalité des discours, qui n’apporte à peu près rien sinon la satisfaction de ne pas progresser.
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Après bientôt deux ans de navigation, en janvier 2013, un ami écrit que c’est « Le journal de bord de mes explorations, dérives, échouages, coups de foudre, émerveillements et perplexités ». Ses mots résument bien ces mois sur l’eau.
Et attention ! Site internet subversif ! Il y a là tout un pays qui s’y cache ! Nous sommes à le préciser ensemble.
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Et vous voulez que je vous dise après maintenant, quoi, cinq ans de «précision ensemble» ? Il y aurait comme un autre pays que l’officiel, un pays qui crie dans la frange, dans la marge, même dans l’oubli pour certains, et qui vit, heureux, solide, et assuré, par delà la quotidienneté des choses, par delà les compromissions diverses, assuré qu’il a en main, il le sait, la durée. Quoi qu’il advienne.
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Huit ans plus tard, il y a maintenant de nombreux jours sur ce site où nous sommes complètement dans la Nature, un monde qui arrive à nous convaincre, à nous personnellement, que, quoiqu’il advienne, la Terre va à nouveau s’en sortir, même si nous décidions, par folie ou autrement, que c’est la fin. Fondamentalement, la Vie — et c’est fort étonnant — fonctionne sans nous. Tous ces vivants de la Nature qui nous entourent, quotidiennement ou par intervalles, n’ont pas besoin de nous. Ils seront là, même nous disparus. D’ailleurs, c’est arrivé à quelques reprises dans l’histoire de notre Esquif qu’il y ait un grand choc — parlez-en aux dinosaures — et toujours la Vie a continué. Je ne crois pas du tout qu’il faille désespérer de la Vie, elle appartient à un autre monde que le nôtre.
Bonjour Jean,
Avant de quitter Madrid pour le Canada, j’ouvre le portable.
Et j’ai cette annonce du site de quelqu’un que nous connaissons bien.
Il est 6 h 00 ici et minuit au Québec.
À 7 h 00 nous quitterons pour l’aéroport.
Depuis une semaine ce sont les manifestations à la Playa de La Porta del Sol.
Le chômage est à plus de 20 % et les jeunes manifestent pour que les politiciens comprennent que la situation doit être corrigée. Le sera-t-elle, l’euro connaissant des soubresauts. Passer au travers de 20 000 manifestants pacifiques comme ça nous est arrivé vendredi soir, c,est une expérience à vivre. On t’en informera.
E la nave va!
Bonne journée Jean,
France et Denis
Site très réussi, Bravo ! Bonne « continuation » ;)
Merci Jean de m’inviter à te lire. Je me plais à penser que j’aurai ainsi l’occasion de découvrir un homme que j’admire et respecte déjà, pour ce qu’il a dans le coeur autant que pour ce qu’il a dans la tête.
Amicalement,
Michel
Salut Jean,
Merci pour cette invitation et cette belle initiative. Je viendrai volontiers me réjouir sur ce blogue tout en douceur. Je l’ajoute à mes bookmarks!
Au plaisir,
Louise Leroux
Première réaction… en lisant le courriel et en cliquant sur l’hyperlien… quelle bonne idée mon ami de vous lancer comme ça pour notre plus grand plaisir… !
Deuxième réaction en découvrant la beauté du site et sa richesse… wow… merci de m’avoir invité…
Bravo pour l’initiative, je te suivrai, le plus assidûment possible, mais déjà à voir le contenu, je pense que nous irons de découvertes quotidiennes.
Chapeau!
Bravo Jean!
Quelle belle initiative. Quelle belle façon de partager ton savoir et ta vision. J’étais en route, de retour de Paris, lorsque j’ai vu cette invitation et tout de suite je m’y suis précipitée. Que de découvertes en perspective.
Et vogue le navire….
Bonjour Jean,
revenant en ville en bon patriote de Bellechasse, je m’empresse d’ajouter ce lien à mon marque-pages.
J’y viendrai de temps à autres, je suis moi aussi très raisonnable sur la navigation!
Bon mardi,
R.B.
Salut Jean,
Ce saut dans le web n’est pas dans l’inconnu, il est inscrit dans la continuité d’un homme généreux et passionné par la communication. Il permet à de nombreux admirateurs d’enfin pouvoir te dire combien ils aiment l’homme que tu es.
Merci à toi et à Élyse pour ce beau cadeau.
Amicalement, Alain
Cher Jean,
Là, tu jases…!
D’abord, chapeau pour l’initiative du blogue..!
Quelle belle façon de partager à grande échelle..!
Merci pour l’invitation… et ne lâche pas la plume (dans tous ses sens)..!
Mario
Félicitation pour votre courage technologique. Ne lâchez pas, on vous suis!
j’ai entendu Jean Provencher ce matin le 18 juin , à la radio . Il parlait comme j’aime entendre . Il a ouvert une fenêtre sur l’ art populaire , sans trop insister . Il m’a accroché.
J’ai plein de pièces fascinantes de Aimé Desmeules et de Félicien Levesques et de quelques autres . Je ne connaissait pas ceux qu’il présente dans son blog . Mais quel monde où l’imaginaire rejoint les recoins de mon enfance ! Alors que je passais souvent des samedis après-midi d’hiver à jouer , assis sur le parquet de bois franc , entouré de chaises et de ficelles , avec mes petits bonshommes que mon parrain m’avait scupltés dans des retailles de pin . Je m’inventais des histoires de fermiers , de cow boys , de marins , de bons et de méchants , … tout en écoutant la musique d’opéra de maman et en humant le roti de porc qui mijotait au four. Parfois mes frères se joignaient à moi ; chacun intriguait et rêvait du mème monde à sa manière . Merci Jean pour ce simple clin d’oeil qui a rempli ma journée ! Gilles
Merci à vous, Monsieur Shoner. Il va bien falloir que vous nous présentiez un jour qui sont, je vous en prie, ces Aimé Desmeules et Félicien Lévesque, et les autres, qui ont bercé votre enfance avec leurs œuvres-jouets. Vous savez bien qu’ils auraient place ici.
Bonjour Jean Provencher,
Quelle joie de vous entendre et de vous voir, ce matin, dimanche à RDI. Dans une autre vie, je faisais la revue des Fermières. Je vous ai interviewé au moment de la parution de votre « c’était le printemps ». Il y a si longtemps déjà.
La rencontre de ce matin m’a captivée. J’étais tellement contente de vous revoir.
J’ai un blog hébergé chez Bayard en France. Blog50 pour les séniors il va sans dire. À plusieurs reprises, j’ai parlé de vous et de vos livres sur mon blog. La dernière fois, c’était à l’occasion de Pâques 2011.
Nous avons un merveilleux refuge à Tremblant et je suis entourée de colibris, de chevreuils que je caresse et qui me suivent sur le golf sans parler de cette horde d’ oiseaux qui fréquentent notre MacDo pour oiseaux.
Je vais visiter votre projet colibri et voir comment je peux participer.
Je me propose de vous donner un coup de fil, j’aurais tant à vous raconter puisque je suis née à Québec et que mon grand-père, puis mon père étaient fabricant de moutarde dans les années 1925. La manufacture était située sur la rue Montmagny au pied de la pente douce. Le tout a cessé dans les 40 à cause de la guerre ne pouvant pas recevoir de Hollande la matière première. Bref: j’ai grandit dans la moutarde puisque j’ai aujourd’hui l’âge vénérable de 80 ans.
Je m’arrête pour l’instant mais je vous suggère de visiter mon blog: jevousregardevivre.blog50.com et de voir dans archives: catégorie poil et plumes: Une buvette à colibri 26 mai 2009 .
Je garde un merveilleux souvenir de notre rencontre.
En toute amitié
Pierrette
Ô, chère Pierrette, quelle bonne nouvelle de vous savoir là et en pleine forme ! Vous vous souvenez sans doute de cette commande que vous m’aviez faite, il y a déjà, imaginez, quoi, trente ans. Un article que j’ai mis sur mon site cinq jours avant de le mettre en ligne.
https://jeanprovencher.com/2011/05/17/la-naissance-du-premier-epouvantail/
Bien belle fin d’été à vous.
Que de la joie dans ma journée à vous lire et à farfouiller dans votre site! Merci Monsieur avec un grand M!!!
Vous êtes adorable, chère Zedbono. Merci beaucoup !
Salut l’homme de toutes les saisons,
Sans le savoir, tu es venu chez moi, à Neuville, la semaine dernière, dans le cadre des journées de la culture. Je n’ai malheureusement pu assister à ta conférence, occupé avec mon petit-fils Gédéon et ses cours de patinage. Il en arrache un peu le pauvre petit.
J’aurais pourtant bien aimé te rencontrer, d’autant plus que l’arrière de ma maison donne justement sur la cour de l’école et de la bibliothèque où tu t’es exécuté. En tout cas, si tu repasses par ici, appelle-moi et viens prendre le café. On causera du fleuve, des chats et de la musique. Bon automne!
Gilles
Merci, cher Gilles, de ta belle invitation. De retour à Neuville, je te ferai signe.
Enfin, je parviens à te féliciter pour l’ensemble de ton oeuvre. J’ai eu, dans les pattes, un bogue que je ne comprends toujours pas. Ton site est magnifique.
Merci beaucoup, cher Pierre.
Lotbinière, 12 août 2012
Cher Jean Provencher,
Il pleuvait à Lotbinière il y a deux jours. Une erreur sans doute. J’ai allumé la télé et j’ai eu le plaisir de t’entendre parler, en compagnie d’une très jolie femme, de nos rapports avec le fleuve. Tu conserves le bel enthousiasme que j’avais apprécié lors d’une lointaine interview à Radio-Canada.
Je me suis rappelé une visite à ta maison de Sainte-Anastasie. Si tu fréquentes toujours notre région, viendrais-tu prendre un pot à la maison François-Bélangé de Lotbinière ? Pas de vue sur le fleuve, sauf en hiver, mais un bel exemple d’architecture traditionnelle.
Bravo pour ton site, perge qui coepisti !
Réginald
s.v.p… perge QUO coepisti !
Merci, cher Réginald. J’ai beaucoup aimé cet été de chroniques aux Éclectiks avec Catherine-Eve et, à une reprise, avec Pierre Blais. Dans le genre, cette émission est vraiment de qualité et la seule dans la région de Québec. Je retiens ton invitation. Si je file dans ton coin de pays, je te fais signe auparavant, bien sûr.
Bonjour Monsieur Provencher,
quel bonheur de vous entendre faire une sainte colère le 13 octobre dernier ,à Ste-Foy .Où s’en va l’histoire? Vous nous avez donné tant de pistes nouvelles à explorer.
J’ai réalisé que je partageais votre vision sans le savoir! Je lancerai bientôt un essai de monographie paroissiale nouveau genre,je dirais. J’ai exploré la vie de simples gens, fais le tour de 125 familles terriennes , méconnues et connues . J’ai questionné des anciens avant qu’ils ne meurent avec leur vécu à partager.Ils m’ont ouvert leur album de famille. Le bébé me fut livré hier. 367 pages vivantes d’histoires inédites du Petit-Village de beauport,Charlesbourg,Giffard.Je publie à compte d’auteure,sans subventions ni dons,je ne suis pas dans les bonnes filières…mais je suis une passionnée d’histoire, j’aime mes racines et veux redonner aux miens,une fierté d’appartenance.
Solidairement vôtre.
Madeleine Gagnon
Faut pas lâcher, faut pas lâcher, chère Madame Gagnon.
Cher monsieur Provencher
Avant ma soixantaine, j’étais trop prise par ma propre histoire pour m’intéresser à l’autre, celle que vous racontez .
Je vous découvre aujourd’hui et anticipe de fort belles rencontres.
Merci de nourrir ma passion d’apprendre la vie de ceux qui nous ont précédés.
Nicole L.
Merci tant à Vous, chère Complice nouvelle ! Et puis je suis heureux que vous soyez montée dans le navire avec nous !
Et que vogue la galère!!!
Et vogue le navire, dirais-je plutôt, chère Vous, du titre du film de Federico Fellini (http://fr.wikipedia.org/wiki/Et_vogue_le_navire…). Sur le navire, il y a toutes ces personnes, avec chacune leur histoire de vie, alors que, sur la galère, on ne trouve que des forçats.
Alors, je vous rejoins sur le navire!
Ah! tout ce qui se cache dans un mot!
Merveilleux Noël à vous à Sainte-Anasse!
Nicole
Merci infiniment, chère Vous. Très très beau Noël à vous également !
Salut Jean!
Quel plaisir de te lire!
Je viens de recommander ton livre Les 4 saisons.. sur ma page facebook et sur Tweet… Du bonheur ce livre. Le poster de la page couverture est encadré à Issoudun!
Bonne route!
m.
Hé, merci infiniment, cher Michel. Il en a coulé de l’eau depuis 1980, depuis le moment où nous balbutions sur notre Orange, ce clône d’Apple, avec notre démarreur et nos disquettes flexibles. La préhistoire, sans que nous le sachions. Et nous étions déjà dans l’avenir. Et toi, patient, qui me disait « Panique pas, Jean, vois comment se fait cette commande sur le clavier et les résultats qui s’ensuivent. » Merci de ton travail d’accoucheur à mon égard alors. Et voilà que nous filons aujourd’hui dans cet univers. En Cadillac. Peinards.
Merveilleux :-)
Nous avions discuté un peu de ça sur la rue il y a un temps. Tout ce savoir et ces observations qui devraient être plus visible.
Alors là , voici un lieu commun , à nous, à notre image. Un reflet de notre identité , cette identité édulcorée au marketing du toujours ailleurs à tout prix. Le marketing du mépris de notre hiver et de nos particularités.
Les quelques instants où au hasard je vous croise en allant au boulot deviennent le sourire de ma journée. Instant de rareté ! Votre page tombe à point :-)
J’espère bien croisé vos pas bientôt car j’aurais besoin de conseils pour un projet. Et comme il concerne l’hiver et comment il a façonné l’humanité et certains peuples vous me semblez tout indiqué pour porter n premier regard sur ce projet!
À très bientôt!
Harry :-)
Merci infiniment. Et au plaisir, cher Harry ! À la prochaine jase !
Salut Jean,
J’ai découvert par hasard et par bonheur ton site Internet. J’ai déjà pris plaisir à y lire quelques textes et je suis sûr, comme disais l’autre, que le plaisir croît avec l’usage.
Merci de partager ta plume et ton savoir!
Merci infiniment, cher Jean. Fort heureux de te savoir là ! On the road again. Ce n’est pas de notre vivant que la mort va nous avoir ! Keep on.
Bonjour !
Je viens de vous découvrir dans cette jungle foisonnante qu’est Internet. J’ai commencé à explorer votre site et j’apprécie vos textes et vos partages. Et en plus, nous portons le même nom de famille !!! Alors là, ça n’en prenait pas plus pour que je vous adopte. Désormais, vous faites partie de mes petits matins d’informations. Un bel automne à vous !
France Provencher
Ô Quelle belle surprise, chère Cousine ! Merci beaucoup de votre mot. Et bienvenue, bienvenue, bienvenue ! Très bel automne à Vous également !
Bonjour Jean
Félicitation pour ton site. Les petits articles instructifs pour tout les âges, intéressant
à lire et de belles photos. Merci.
Merci, chère Hélène, merci beaucoup !
J’aimerais m’abonner à votre chronique, comment faire?
Ah, c’est vraiment gentil de votre part. Mais il n’y a pas d’abonnement. Vous n’avez que retrouver le site quand bon Vous semble. À l’adresse « jeanprovencher.com ».
Vous pouvez aussi placer cette adresse dans vos favoris.
Nous faisons toutes et tous route ensemble.
Bonjour
Je ne fais jamais de commentaires mais je vous lis tous les jours avec un grand plaisir.
Serge Payette
Ô merci beaucoup, cher collègue !
Bien cordiales salutations.
Hé salut Jean, comment vas-tu? Ça fait longtemps que je t’ai croisé, probablement la dernière fois à Radio-Canada Québec quand je réalisais à la radio. Je pensais à toi parce que dernièrement pn parle beaucoup du 50e de CKRL et je pense, à moins que je me trompe, que tu as été un participant important dans la sauvegarde de la station dans les années 80.
A un de ces jours au hasard des rencontres.
André Picard.
Ça va très bien, André. Ça vieillit, mais très bien. Que veux-tu, nous vieillissons tous.
Je me rappelle de Radio-Canada. Je me rappelle aussi du studio Opson, coin René-Lévesque et Holland.
Bien oui, avec un bon groupe, nous avons travaillé à sauver CKRL en 1985-1986. Ça risquait de fermer et on y a mis toutes les énergies et bénévolement pour sauver cette radio.