Skip to content

Le Verge d’or ne se rend toujours pas

Pas question pour elle de céder devant les jours qui raccourcissent et se refroidissent. Elle tient bon, «heureuse» au cœur de ces branches chargées d’épines. C’est vraiment incroyable ! On la dirait franchement unie à ce groseillier qui lui non seulement a fait ses fruits, transformés en confiture au cours de l’été, mais a perdu toutes ses feuilles depuis au moins trois semaines.

Hier, je parlais à un cuisinier qui s’intéresse à la flore patrimoniale québécoise. Selon lui, il est vraiment permis de penser qu’il y a osmose entre la Verge d’or et le plant de groseilles.

Publier un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Vous pouvez utiliser des balises HTML de base dans votre commentaire.

S'abonner aux commentaires via RSS