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En attente du «pop»

Vous vous rappelez, j’écrivais : Cuisson à feu extrêmement doux dans un chaudron à large fond. Sans que jamais d’écume ne se forme. Coulée de la confiture dans les pots chauds, stérilisés, comme les couvercles d’ailleurs. J’évite de trop visser fermement pour permettre à la bête de faire pop à un moment donné, signe alors que le tout est fermé hermétiquement.

Cette fois-ci, ça m’a donné sept pots de 250 ml de confiture.

Dans l’hebdomadaire montréalais Le Monde illustré du 11 août 1888, on écrit : «Les confitures de groseilles demandent l’adjonction de la framboise et tolèrent la cerise. C’est un excellent mélange qui permet d’utiliser trois petites récoltes du jardin, qui séparément seraient insuffisantes.» Diable, la fois prochaine, c’est entendu, j’y joindrai des framboises.

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