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Aujourd’hui, sur le babillard

Le printemps lent. Absolument rien de spectaculaire, dirait-on. La patience a sûrement été inventée lors d’une pareille saison. Les bruants rentrent, mais le «gorge blanche» et le «couronne blanche» ne sont pas encore là. Il y a celui-ci : le hudsonien. Puis le familier, anamorphique, attrapé à travers la double fenêtre. D’autres Juncos ardoisés ont rejoint les premiers; ils sont sûrement 15 ou 20 maintenant. On dirait qu’ils vont s’emparer du lieu, ils semblent partout. Mais je les connais, ils ne passent que pour saluer, trois ou quatre semaines tout au plus. Et, étonnamment, ces trois espèces ont des comportements hors de l’ordinaire, se nourrissant aux mangeoires de lard, d’arachides et de tournesol.

Et les Sizerins à tête rouge ? Toujours là. Près de cinq mois et demi avec moi maintenant et ne montrant aucun signe de départ prochain.

Ainsi la chatte se peigne.

4 commentaires Publier un commentaire
  1. Melinda Vörös #

    OOOOH! Merci!!!!!! Qu’ils sont beauooooooooooooooooooo!

    23 avril 2013
  2. Jean Provencher #

    Merci à Vous, chère Melinda ! Mais vous avez vu, ils m’ont à l’œil.

    23 avril 2013
  3. MC Lapierre #

    Je vous envie. Quel spectacle pour les yeux et pour le coeur.
    Merci pour les photos !

    27 avril 2013
  4. Jean Provencher #

    Merci, merci, cher Monsieur Lapierre.

    27 avril 2013

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