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Les chatons dans la porte pour son ouverture.

Voici ces trois venus, en rang — la chatte et deux chatons — lors de mon arrivée, hier avant-midi. C’était émouvant.

Il y a aussi de l’amour dans la tête de ces chats.

Un coyote est encore dans les parages. Et les chats le craignent.

Hier après-midi, un chaton était monté dans un pommier. Et, au pied de l’arbre, je me suis rendu compte qu’il y avait un coyote. Je lui ai crié et il est parti ailleurs, sans doute encore sur le terrain, qui est grand. Et le chaton a pu descendre et revenir vers la maison. Depuis quelques jours, tout d’un coup, sans que j’en connaisse la cause, les chats gagnent en vitesse le dessous de la galerie. Sans doute qu’ils perçoivent alors la présence du coyote. Et, lorsque je m’absente, cette bête en profite peut-être pour vider les plats de nourriture que j’ai laissés aux chats. Et ce coyote jappe en plein jour.

Le chaton dans son pommier.

Un chaton dans un pommier de cent ans.

Le jeu de la Vie.

La chatte en réflexion, dirait-on.

La maison encore illuminée. Un repos à la campagne.

Les voilà avec la chatte à manger des croquettes.

Les cinq chatons et la chatte désirent entrer.