Voici la troisième page du calepin magnifique que m’ont envoyé mes deux amis de Trois-Rivières, Ninon et Pierre, un calepin de toute beauté avec des textes et des dessins.


Celle-ci est elle-même riche de tout le neuf qu’elle enlève aux choses. Et la vie s’en va, s’en va, s’en va… Et tout ce qui s’habitue meurt. N’en tirent que les perpétuels étonnés, les éternels ravis.
Le cartable des temps d’hier. De la création, de l’étonnement, du sens du merveilleux et de la découverte.

Demain, je prendrais volontiers l’avion pour aller lui serrer la pince à Paris.
Poème de Guillaume Apollinaire (1880-1918)
Dans la plaine les baladins
S’éloignent au long des jardins
Devant l’huis des auberges grises
Par les villages sans églises. Lire la suite
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