Les colporteurs pourront continuer de crier
Les colporteurs montréalais s’inquiétaient. La Ville s’apprêtaient à leur défendre de crier dans les rues, chemin faisant, juchés sur leur voiture, pour annoncer leurs produits. Lire la suite
8 Juin
Les colporteurs montréalais s’inquiétaient. La Ville s’apprêtaient à leur défendre de crier dans les rues, chemin faisant, juchés sur leur voiture, pour annoncer leurs produits. Lire la suite
Le voici. L’auteur, Louise Pagé, a travaillé sept ans à cet ouvrage. C’est en menant une recherche sur son ancêtre ariègois, Jean Broué Cabillot, qui est arrivé au Canada en 1885 comme montreur d’ours, qu’elle a documenté la vie de ces saltimbanques en terre d’Amérique. Et, étonnamment, ils provenaient de trois villages des Pyrénées françaises. Lire la suite
Apparence qu’elles ont tout pour mériter son ciel. Lire la suite
Hier, nous évoquions la vie de camelot à Montréal au début du 20e siècle. Voici d’autres ambulants.
Comme toutes les grandes villes, Montréal a donc ses petits commerçants, ses petits industriels de la rue, humbles travailleurs plus avides d’indépendance que de bien-être ou, souvent, braves ouvriers réduits par quelque infirmité à abandonner le métier appris dans leur jeunesse. Lire la suite
Par le vent, par la neige, ou la pluie; quand le mercure semble prêt à geler dans les thermomètres et quand le soleil brûlant fait fondre l’asphalte, ils vont par les rues les vendeurs de journaux, petits et grands s’égosillant à crier : «Star, Patrie, La Presse !» Lire la suite
Manifestement, accueillir le pauvre monde n’est guère de mise, si l’on se fie à l’un des quotidiens de la ville. Lire la suite
Nous poursuivons notre voyage commencé hier dans l’univers des musiciens ambulants à Montréal. Lire la suite
Le quotidien montréalais La Patrie nous propose de revenir sur la route des musiciens ambulants, à la toute veille de disparaître complètement, selon ce journal.
Est-ce un signe des temps ? Lire la suite
Dans la presse québécoise ancienne, j’aime beaucoup lorsqu’on signale le passage d’un groupe d’étrangers. C’est l’occasion, presque à chaque fois, de vérifier comment la différence effraie, même dans une ville comme Montréal. Lire la suite
25 Sep
Le moyen adopté par la ville, cette année, pour faire disparaître les mendiants et les gueux de nos rues et de nos places publiques semble être le plus pratique et le plus efficace.
Les mendiants qui sont réellement de la ville de Montréal sont dirigés sur les institutions de charité qui leur sont ouvertes, on ne les tolère pas dans les rues. Lire la suite
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