Publicité estivale d’un des grands magasins de Montréal, W. H. Scroggie, coin Sainte-Catherine et Université
Un anglicisme disparu de notre discours.
Plein air, dit-on.
19 Juil
Un anglicisme disparu de notre discours.
Plein air, dit-on.
Les policiers vous auront à l’œil.
Là où, sur cette carte, on trouve un «X».
Attachée à une publicité de Roberston Asbestos Mining Co.
La Patrie (Montréal), 8 février 1908.
Et comme le dit la publicité, le souper des amateurs de la raquette.
La Patrie (Montréal), 1er février 1908.
On dirait bien des fantômes à l’arrière.
La Patrie (Montréal), 9 décembre 1893.
Un jour, il y a longtemps déjà, je me suis retrouvé dans le cinquième arrondissement à Paris. Et je suis entré, rue Daubenton, dans une librairie-boutique fort sympa, à quelques pas du métro Censier, La Tuile à Loup.
Et on laissait au visiteur cette publicité charmante.
À 9 heures 30, ce matin, soixante-douze personnes l’ont vue depuis cette nuit, la plupart en France, dont quatorze à Saint-Cloud.
Si je me rappelle bien, cette gravure apparaissait dans la publicité d’un vendeur montréalais de balances et de pèse-personnes. Lire la suite
Et voilà que le 21 octobre 1898, L’Écho des Bois-Francs, qui publie cette annonce, écrit : M. Zoël Mailhot, forgeron, a fait encan de ses meubles, lundi, et s’en va demeurer aux États-Unis. Désormais, Eugène Bergeron occupera son atelier comme forgeron. Lire la suite
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