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Articles de la catégorie ‘D’autres habitants de la Terre’

Je viens de trouver « La Bhagavad-Gita, telle qu’elle est ». Il s’agit du premier des grands classiques de l’Inde. Un pavé qui fait 878 pages. Ce livre fut publié à Montréal, aux Éditions Bhaktivedanta, en 1990.

Je suis très heureux d’avoir trouvé ce classique.

Dans deux pages précédant la page-titre, on écrit: Réponses millénaires aux questions actuelles.

Qui suis-je ? Quelles sont les origines de la vie ? Qu’y a-t-il après la mort ?

Ces questions de base ont depuis toujours tourmenté l’homme en quête de connaissance.

La Bhagavad-gita qui, depuis 5, 000 ans, a fasciné les plus grands penseurs, y donne des réponses logiques et rationnelles. Source inépuisable de connaissance toujours d’actualité à travers les âges, elle aide l’homme dans sa recherche philosophique comme dans sa vie quotidienne, utile aussi bien au philosophe, savant, politicien, homme d’affaires, artiste, ouvrier, étudiant, mère de famille… En mettant l’être en contact directe avec le Divin, elle l’aide à éveiller ses facultés internes endormies, à diriger sainement ses actes et à trouver par là la paix et l’harmonie.

Dans ces deux pages précédant la page-titre, on y lit huit personnages qui appuient cet ouvrage. Arrêtons-nous à Romain Rolland (1866-1944) écrivain français, Prix Nobel de littérature en 1915 :

Que d’autres viennent à leur tour puiser à ce réservoir de sagesse pratique les pensées inspiratrices de leurs actions, comme le font journellement des milliers d’hommes appartenant à la race la plus intensément religieuse du monde.

On viendra à d’autres « appuyeurs ».

Des bouteilles à la mer, avec message à l’intérieur de chacune.

Rappelez-vous, je Vous disais que Mon fils et moi, pendant deux ans (en 1975 et 1976), été comme hiver, avons lancé dans la mer, là où se trouve aujourd’hui le Quai des cageux à Québec, le long du boulevard Champlain, des bouteilles contenant un message. J’avais prévenu mes amis de me donner leurs bouteilles vides. Ce temps fut merveilleux. Il y eut 455 bouteilles qui ont quitté Québec. Jusqu’à aujourd’hui, nous avons eu une quarantaine de bien belles réponses. Et diverses. Des personnes habitant les rives du Saint-Laurent au sud et au nord. Et plus loin. Terre-Neuve. Les Îles-de-la-Madeleine. L’Île-du-Prince-Édouard. Et Miquelon. Et tout cela pour Vous dire que pour composer les quatre pages du texte du message, je me suis beaucoup inspiré des textes très riches de Satprem (pseudonyme de Bernard Enginger), un sage né à Paris le 30 octobre 1923 et qui a longtemps vécu à Pondichéry, en Inde. Il s’est envolé le 9 avril 2007. Mon fils, au fil du temps, a bien aimé le texte. Voici, ici, la page 4 de ce message. Il provient de quelqu’un qui l’a trouvé au Bic. Voilà.

Je vais vous raconter une histoire, une histoire vraie. Mon fils et moi, pendant deux ans (en 1975 et 1976), été comme hiver, avons lancé dans la mer, là où se trouve aujourd’hui le Quai des cageux à Québec, le long du boulevard Champlain, des bouteilles contenant un message. J’avais prévenu mes amis de me donner leurs bouteilles vides. Ce temps fut merveilleux. Il y eut 455 bouteilles qui ont quitté Québec. Jusqu’à aujourd’hui, nous avons eu une quarantaine de bien belles réponses. Et diverses. Des personnes habitant les rives du Saint-Laurent au sud et au nord. Et plus loin. Terre-Neuve. Les Îles-de-la-Madeleine. L’Île-du-Prince-Édouard. Et Miquelon. Pour composer les quatre pages du texte du message, je me suis beaucoup inspiré des textes très riches de Satprem (pseudonyme de Bernard Enginger), un sage né à Paris le 30 octobre 1923 et qui a longtemps vécu à Pondichéry, en Inde. Il s’est envolé le 9 avril 2007. Mon fils, au fil du temps, a bien aimé le texte. Je vous laisse ici la page 3 de ce message, espérant que vous puissiez lire ce texte dur pour les yeux. Il provient de quelqu’un qui l’a trouvé au Bic. Prenez soin de Vous.

Vous avez devant vous une tête de Bouddha, qui provient d’Indonésie. Les statues de tête de Bouddha sont considérées comme des objets de grande importance dans le bouddhisme et par les adeptes de cette religion. Mais cela ne signifie pas que les têtes de Bouddha n’ont qu’une signification religieuse, car elles ont une autre signification dans la vie de chacun. Ces sculptures sont également de grands objets de décoration de l’environnement de chacun, car elles dégagent un sentiment de paix et de calme autour de vous. En plus d’embellir l’environnement, elles répandent l’influence de la paix et de l’harmonie dans la vie de chacun.

Voir le site internet : https://le-temple-du-bouddha.com/blogs/blogs-bouddha/tete-de-bouddha-signification

Je reviens à Satprem, chers vous autres. Rappelez-vous. Je Vous le présentais. Un sage d’origine bretonne, Bernard Enginger, né à Paris en 1923 et décédé en Inde le 9 avril 2007. J’aime beaucoup cet homme qui a longtemps vécu en Inde. J’ai mis la main sur quelques-uns de ses livres à Montréal durant les années 1970, des livres-joie, je dirais. Voilà c’est ce que je vous disais. Prenons un extrait de son livre Par le corps de la terre, un livre très riche. Allons à la page 420.

Un jour, j’étais parti en quête d’une vie plus vraie, et j’avais couru l’aventure de l’or, comme j’aurais couru l’aventure des oiseaux-lyres ou du pôle Nord, n’importe, pourvu qu’on respire le large ; et j’avais trouvé des frontières, des polices, des forêts mises en carte, des découvreurs qui découvraient seulement leur misère noire.

J’avais trouvé que l’aventure était ailleurs, sous nul tropique, et que toutes les routes du dehors finissaient dedans ; j’étais devenu Sannyasin, comme je serais devenu derviche-tourneur ou corybante, n’importe, mendiant couvert de cendres et nu, pourvu qu’on respire large, pourvu que la vie soit libre et vraie ; et j’avais trouvé les grands chemins d’en haut où la lumière rayonne, j’avais entendu la musique qu’on n’oublie plus, le Rythme qui rythme tout, j’avais bu la grande bolée qui délivre — et puis j’avais perdu la terre. Et chaque route se refermait sur son contraire, chaque aventure finissait sur une anti-aventure, comme si chaque oui conduisait à un non.

Ou était-ce seulement la fin d’une courbe, le passage à un oui plus grand, une aventure plus vraie ? Et peut-être n’y avait-il jamais eu de non, nulle part, à aucun moment, rien à nier, rien qui nie : seulement un Oui toujours plus large qui montait en vrille comme les spires des turritelles ?

Cette feuille qui tient bon. Une résistante.

Place à l’ouverture de la porte.

Voilà comment la grande pluie est tombée.

Ce petit est incroyable.

Les deux chats se roulent par terre.