Quand donc nos météorologistes d’aujourd’hui éviteront-ils les qualificatifs excessifs au sujet du temps qu’il fait ?
Pas plus tard qu’il y a deux jours, à moins 15 la nuit, l’un d’entre eux disait que nous vivions des «températures extrêmes». Allez donc. Il faut s’informer un brin sur l’histoire du climat québécois pour apprendre à être bien prudent avant de recourir au mot «extrême»… et en avril.
La neige, dites-vous ? Il en est de même pour elle. Voyez ce simple paragraphe de l’hebdomadaire Le Sorelois du 7 avril 1885. Lire la suite