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Articles de la catégorie ‘Les chevaux’

Un bon tremblement de terre secoue Montréal

L’événement se passe en soirée. Lire la suite

L’historien Benjamin Sulte raconte l’hiver québécois aux Français de France (second de trois billets)

Retour à ce texte d’abord publié à Paris dans la Revue du Monde latin. Nous voilà bien en hiver, Sulte a lancé le propos. Et il est heureux, il se fait vendeur.

À mesure que la neige tombe, la circulation des voitures la plombe sur les routes. Elle forme une couche ferme, où les traîneaux courent avec une facilité incroyable. Dans les champs, elle reste molle. Lire la suite

Des nouvelles d’Anne-Marie

Heinz et elle reviennent d’un voyage d’un mois en Suisse, leur pays d’origine. « Voyage inoubliable », dit-elle.

Mais, dès notre retour, le jardin, les fleurs et le bois nous attendaient.
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Au champ de foire

Les petits chevaux sont installés depuis quelques jours déjà sur la place du marché à foin. Comme toujours, ils font les délices des enfants, qui s’y rendent tous les soirs en grand nombre.

Le Trifluvien (Trois-Rivières), 24 août 1897.

Paru dans Le Progrès du Golfe (Rimouski), édition du 26 août 1904

Portrait approximatif d’un personnage inconnu

Je n’en savais rien avant que ma maison ne se mette à parler, échappant des morceaux de documents remontant à plus d’un siècle. J’arrive seulement, lentement, à préciser des souvenances.

Il s’appelait Joseph Napoléon Allard. Où et quand est-il né, mystère. Pour un temps, il habita Warwick. Caractéristique première, son grand amour des chevaux. Pourquoi, allez savoir. Peut-être venu d’une bonne bête que son père possédait et dont il prit soin étant enfant. Lire la suite

La grande Emily Dickinson qui toujours tient des propos qui ébranlent

Nous passâmes l’école où des enfants jouaient

À lutter dans un cercle ;

Nous passâmes les champs de blé très attentifs,

Et nous passâmes le soleil couchant. Lire la suite

Les deux chevaux amoureux

À l’instant, sous ce titre, ma si chère fille me fait parvenir cette image avec le commentaire suivant : Lire la suite

Ces nouvelles ne parviennent jamais à se rendre à la ville

Mais les bêtes peinent beaucoup en ce moment dans les campagnes.

Après le printemps tellement pluvieux que nous avons connu, elles en paient le prix.

Ce cheval, protégé car il se faisait piquer dans les yeux, ne cesse de taper du sabot et de se gratter sur le bâtiment.

Le folkloriste Jacques Labrecque aurait 100 ans aujourd’hui

Il est né le 8 juin 1917 à Saint-Benoît-du-Lac, il est décédé à Longueuil le 18 mars 1995. Et ayant fait sa thèse en ethnologie à l’Université Laval sur Jacques Labrecque, personne mieux que Mathieu Perron pouvait nous en parler. À toi la parole, cher Mathieu. Lire la suite