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Articles de la catégorie ‘Amphibiens, batraciens et reptiles’

Du livre «Je me renseigne sur l’hiver»

De Martha et Charles Shapp, illustrations de Laszlo Roth, adapté en français par André Saint-Pierre, Montréal, Grolier Ltée, 1966. Lire la suite

Qu’est-ce que c’est ça ?

L’Étoile du Nord du 15 novembre 1888, dans sa rubrique «De ci, de ça», échappe cette courte nouvelle, incroyable, jamais apparue nulle part dans nos études historiques :

«Sensation à Québec ! En nettoyant les machineries de l’Aqueduc, au lac Saint-Charles, on a trouvé les corps de plusieurs enfants qui ont dû être noyés quelques instants après leur naissance.»

À quand, mais à quand une grande histoire de l’enfant québécois ? Qu’attend-t-on pour s’y mettre ? Lire la suite

Crapauds et couleuvres sont fort utiles

Il y a peu, nous parlions des marchés de crapauds à Paris pour les jardiniers de la région. La Tribune soulignait ce fait en 1892. Lire la suite

Dans mon milieu humide

À chaque fois que je tonds la pelouse, il me faut porter attention. Batraciens à l’horizon. Hier encore d’ailleurs. Qui vois-je soudain ? Un infime Crapaud d’Amérique. Vraiment une toute petite bête. Lire la suite

Vive le crapaud !

Assez intéressantes ces ventes de crapauds en France ! Là-bas on a compris que la bête est un bienfait. Lire la suite

Je me rendais remplir les silos de chardon à distance de la galerie

Marchant sous la pluie, mais regardant où je mettais le pied, que vois-je ? Cette toute petite bête de rien, pas plus grande qu’une pièce de dix cents, qui ne demande qu’à vivre. C’est la Grenouille des bois, ma foi ! Aux beaux yeux maquillés ! Lire la suite

La Grenouille des bois

Tondant la pelouse, j’ai fait lever cette belle bête, la Grenouille des bois (Rana sylvatica, Wood Frog). Son nom, semble-t-il, le dit bien : contrairement aux autres grenouilles qui vivent dans l’eau, elle préfère les bois. Lire la suite

Mon fossé est à sec !

Avec ces nombreux jours de chaleur, sans pluie, mon fossé s’est asséché. Fini le temps des têtards, celui où les fougères le bordant pouvaient s’y mirer. Lire la suite

En voilà un prêt à sortir

Prêt à tenter la grande aventure terrestre. Déjà, ses pattes sont là. Bientôt, il perdra sa queue. Il reprendra sous peu le voyage à son tour.

Mes amphibiens, demandez-vous ?

Je vous entends, inquiets du sort de mes queues-de-poêlon. Ah, je vous néglige. Un mois bien compté sans vous donner de nouvelles à leur sujet. Mais rassurez-vous. Lire la suite