À Montréal, nous voilà maintenant du côté des poissons !
Un des grands spectacles naturels de l’année.
25 Mar
Un des grands spectacles naturels de l’année.
Le printemps semble avoir commencé, hier, dans l’atmosphère comme dans l’Almanach.
Beaucoup de propriétaires ont commencé à entailler et sont prêts à recueillir la récolte sucrée du printemps ; c’est la plus douce de toutes les moissons.
La Gazette de Joliette, 23 mars 1880.
Après une tempête, le marché aux pelles à neige s’active.
L’Étendard (Montréal), 21 mars 1883.
Source de l’illustration : Edmond-J. Massicotte, Scène d’autrefois. Textes d’Hector Grenon, Éditions internationales Alain Stanké Ltée, 1977, non paginé.
Nous sommes ici au Cap-de-la-Madeleine, ville faisant maintenant partie de Trois-Rivières, à mi-chemin entre Québec et Montréal, sur le rive nord du fleuve Saint-Laurent.
La tempête de cette semaine assurément. Et le passage de plusieurs dindons sauvages à la queue leu leu dans la neige haute. Lire la suite
Trois images.
Aujourd’hui, il y a trois ans, en 2014, et il y a cinq ans, en 2012. Lire la suite
La débâcle, voilà la question du jour. Lire la suite
Chaque lieu, dirait-on, a son comportement propre. Impossible donc d’imaginer une politique commune pour l’ensemble du Saint-Laurent et de ses affluents. Lire la suite
Avec le printemps qui nous arrive, ce matin, nous jouissons d’une température admirable. Le grand soleil qu’il fait enlève la neige à vue d’œil et les rues sont métamorphosées en rivières. Les trottoirs, pour la plupart, sont à découvert et la foule, déjà, jouit du beau temps et de la douce chaleur.
Le Canada (Montréal), 22 mars 1905.
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