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Articles de la catégorie ‘La nuit, le soir’

Les temps changent (première partie)

C’est ce que constate le journaliste et historien Benjamin Sulte dans Le Monde illustré du 23 janvier 1892. Bien plus, tant qu’à y être, pourquoi pas un éloge du progrès. Lire la suite

Les premiers jours de l’année 1895 à Montréal

Bien oui, allons-y donc. Tournons les pages du quotidien montréalais La Minerve au tout début de l’année 1895. La vie est bien diverse. Lire la suite

Châteaubriand et le pays donné

Un jour, ce cher Châteaubriand (1768-1848) s’est payé la traite. Il faut bien dire qu’il se la payait souvent d’ailleurs, car il était reconnu, entre autres, pour avoir une fort belle plume. Lire la suite

Maudits redoux !

En 1900, on n’aime pas les redoux, l’hiver. Ils sont hors saison, «asociaux». Et il ne faudrait surtout pas qu’ils durent, ils pourraient nous mettre à genoux. Lire la suite

La superstition dans les campagnes

Hier, après avoir passé une soirée d’hiver à Québec, voici qu’aujourd’hui, Arthur Buies nous  entretient d’un sujet étrange. Bien rarement parle-t-on de la superstition dans les campagnes. Buies ici s’y attaque. Lire la suite

Le fleuve Saint-Laurent, un cours d’eau d’embûches

Piloter sur le Saint-Laurent est fort complexe. Gens de terre, nous n’en avons absolument aucune idée. Lire la suite

Le précieux pont de glace

En 1900, au Québec, en hiver, si on habite près d’un cours d’eau, partout on espère la formation la plus rapide possible d’un pont de glace. Lire la suite

La veille de Noël dans un chantier de l’Outaouais

C ‘était la veille de Noël 1883. Je travaillais dans un chantier de billots sur la rivière Noire Supérieure, une des tributaires sans nombre de l’Ottawa. Lire la suite

Soirée d’élections à Lowell, Massachusetts

En 1900, la presse québécoise s’intéresse grandement aux Franco-Américains, les «frères» qui habitent la Nouvelle-Angleterre. Lire la suite

Triste histoire pour nombre d’enfants

Le 20e siècle sera le siècle de l’enfant. Mais celui-ci est parti de bien loin. En effet, en 1900, les abandons d’enfants sont fort nombreux. C’est une misère ! Lire la suite