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Articles de la catégorie ‘La nuit, le soir’

Les animaux de retour à l’étable

Citadins que nous sommes, nous l’ignorons. Mais le Québec connaît un printemps tellement pluvieux que les champs dans les campagnes sont devenus des terrains de boue. Pour les bêtes passant les nuits dehors, impossible de trouver place pour se coucher. Lire la suite

Il arrive que la nuit inspire les poètes

Ainsi Jean Charbonneau s’adresse à Sirius, vue de la Terre l’étoile la plus brillante du ciel après le Soleil. Lire la suite

Serge Bouchard sur la lune

Il y a un moment déjà, 26 ans, mon ami Serge Bouchard, anthropologue, homme de radio aussi, publiait un premier livre, de courtes nouvelles sur mille et un sujets. Lire la suite

« Conte à la lune »

Voici un poème, un véritable envol, d’une jeune femme de 26 ans.

Une Rose Latulippe.

Chant de la nuit également.

Trouver aussi bonheur dans la campagne. Lire la suite

Nous voilà au Bic, dans le Bas-Saint-Laurent

Dépouillant la presse ancienne, il y a parfois des passages qui font rêver. Lire la suite

Il y aurait matière, vraiment, à une histoire québécoise de la nuit

Sur ce site interactif, depuis bientôt six ans, j’ai évoqué le sujet à maintes reprises. Lire la suite

La visite de la grande femme noire

Qui est donc cette grande femme noire ? Rendons-nous à Joliette.

Notre ville d’ordinaire si paisible a été mise en émoi, ces jours-ci, par l’apparition d’un fantôme que l’on est convenu d’appeler La grande femme noire.

On la voit, d’après les heureux témoins du phénomène, se promener vers neuf heures du soir, et l’histoire ajoute que, plus on la voit tard dans la nuit, plus elle paraît grande. Cette grande femme noire vient de Mascouche. Lire la suite

En 1883, dans un long papier, un médecin âgé revient sur les sucres du temps de sa jeunesse

La nostalgie l’assaille. Il a bonne mémoire, tout lui revient. Il prévient : « Je vais parler le langage de mon pays ». Extraits. Lire la suite

La lune a parfois le dos large, il y a plus d’une centaine d’années

Ainsi croyait-on qu’elle faisait roussir les jeunes pousses en avril et mai.

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Chère humanité

Certes, pour ces beaux jours de printemps, alors que tout est à la folie, à la joie de vivre, il est doublement navrant de se heurter à une misère.

 Rue Ste-Catherine, samedi soir, dans l’éblouissement des lumières, la griserie dont est faite la gaieté des foules, au milieu du va-et-vient des théâtres, j’eus cette douloureuse expérience.

 Sur le bord du trottoir, un homme ! un cul-de-jatte, mais un cul-de-jatte raté ; (il lui reste encore une jambe) — tirait péniblement d’un chétif accordéon des sons, faibles, usés d’une tristesse infinie. Lire la suite