Articles de la catégorie ‘L’ineffable’
31 Mai
Jamais les couleurs ne sont aussi tendres qu’en ce moment
Il faut bien en profiter, car, sans même qu’on s’en soit rendu compte, elles se seront approfondies d’ici une quinzaine de jours.
Le banc de sable des outardes dans la Du Chêne
La rivière du Chêne, dans Lotbinière, se divise en deux bras tout juste avant de se jeter dans le Saint-Laurent. Dans celui de l’est, à Leclerville, il se forme un banc de sable à l’embouchure, lieu apprécié des grandes outardes dans leur migration printanière. Lire la suite
Le si vieux rêve
Dépouiller la presse québécoise ancienne fait soudain sursauter, surgir des moments étonnants, heureux. Rêvons-nous ? En 1895 : un article intitulé «Communications interplanétaires» ! Lire la suite
6 Avr
Et puis, coudon, avez-vous vu passer ce billet ?
Voilà quelques années maintenant que nous sommes là toutes et tous ensemble. Certaines-certains au début, puis disparu-e-s. D’autres attrapant le navire plus tard. Mais je ne sais plus où vous en êtes.
Et je me demandais : avez-vous vu passer ce billet ? Surprenant. Déstabilisant aussi. Une enfarge dans notre vie de tous les jours. Lire la suite
Paysage pour paysage, un 6 avril
Celui ci-haut, en majeur, 2011.
Puis les suivants : 2013, 2015 et finalement celui d’aujourd’hui 2016.
Interprétation. Lire la suite
Très bientôt apparaîtront les feuilles nouvelles
Et celle-ci, exceptionnelle, aura réussi à tenir une année complète. Résistant à tous les temps, dont les nombreux verglas d’hiver. Et jamais larguée par son arbre, son grand Peuplier baumier. Attachée… et pourtant offerte à tout ce qui passe.
Dans la série «Les inventions de la vie» (60)
Simple racine perdue en plein champ.
Oubliée lors du labour d’automne.
Oui, si l’on veut. Lire la suite
21 Fév
Dans la série «Poèmes des temps d’hier»
Je vous ai dit à quelques reprises mon plaisir de découvrir dans la presse québécoise de 1880 à 1910, quotidienne et hebdomadaire, des poèmes. Lire la suite
Dans la série «Les inventions de la vie» (54)
Invariablement, à ce temps-ci, je commence à observer l’évolution des bourgeons, car ils vont bientôt bouger. Lire la suite