Retour sur les changements de noms chez les Franco-Américains
La Gazette de Joliette du 14 avril, 1885 reproduit un article du Messager (1880-1966), un journal de Lewiston, Maine.
29 Avr
La Gazette de Joliette du 14 avril, 1885 reproduit un article du Messager (1880-1966), un journal de Lewiston, Maine.
Il aime les casse-tête comme moi et reconstituera ce tableau de Clarence Gagnon — Matin d’hiver à Baie-Saint-Paul — l’hiver prochain.
Merci, chère Anne-Marie, pour la photographie.
Nous en avons déjà parlé sur ce site. Voici une autre histoire de ce genre. Lire la suite
Un ouvrage me met sur sa piste, petit livre de poèmes choisis traduits du chinois et présentés par Yan Hansheng (1902-1993) et Suzanne Bernard (1932-2007).
Wangshu a eu une courte vie. Né en 1905 à Zhejang, en Chine, il décède à Beijing en 1950. Suzanne Bernard, écrivaine et critique littéraire française, sait bien nous le rendre dans la préface du livre. Lire la suite
27 Avr
Vous n’êtes pas sans savoir que l’abbé Charles-Émile Gadbois, pour ses Cahiers de la bonne chanson, a sanctifié un certain nombre de ritournelles bien audacieuses arrivées de France, les rendant fort fréquentables pour les enfants du Québec. Exemple.
Voici les paroles de Sur la route de Louviers. Lire la suite
Le Nouvelliste raconte l’histoire bien terrible suivante qui aurait eu pour témoins un grand nombre de personnes.
On distribuait dans l’une des églises de Québec une image pieuse bénie représentant la face du Divin Sauveur. Lire la suite
Qui est donc cette grande femme noire ? Rendons-nous à Joliette.
Notre ville d’ordinaire si paisible a été mise en émoi, ces jours-ci, par l’apparition d’un fantôme que l’on est convenu d’appeler La grande femme noire.
On la voit, d’après les heureux témoins du phénomène, se promener vers neuf heures du soir, et l’histoire ajoute que, plus on la voit tard dans la nuit, plus elle paraît grande. Cette grande femme noire vient de Mascouche. Lire la suite
23 Avr
Avec toute sa tête, mais un vieux corps qui le lâchait. Nous étions plusieurs suspendus à ce moment fatidique. Hier soir, à 23 heures, je dormais. Le téléphone a sonné trois fois et la personne n’a pas laissé de message. « Paul est mort » que je me suis dit. Lire la suite
La maladie diminue toujours ici. Elle s’en va avec la neige.
Nous sommes dans le temps des sucres. Tout le monde pense à la cabane; il y en a beaucoup qui y vont; les autres se contentent d’en avoir envie. Lire la suite
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