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Articles de la catégorie ‘La culture’

Toujours, le temps qu’il fait monopolise les conversations

En 1903, voilà des jours et des jours sans pluie. Certains sont heureux, d’autres, pas du tout.

Cette température idéale fait la joie des citadins, des oisifs, des promeneurs et promeneuses qui ont de nouvelles toilettes fraîches et élégantes à lancer, à étaler. Le gaz, la tulle et les toiles transparentes sont à l’ordre du jour dans le monde féminin, tandis que chez le sexe pas beau, les chemisettes (shirt-waists) dont on a tant parlé, il n’y a pas cent ans, sont sur le point d’envahir l’asphalte. […] Lire la suite

Que la condition de têtard est exigeante !

Une mare est une étendue d’eau de faible surface et de peu de profondeur alimentée seulement par la neige fondue et la pluie. Lire la suite

Le chroniqueur Léon d’Ornano, d’origine corse, s’étonne des déménagements du début de mai

Décidément, notre genre de vie moderne a des manifestations qui donnent à réfléchir. À voir Montréal en ces premiers jours de mai, si j’étais un étranger nouvellement débarqué, je pourrais croire à l’exode de sa population. Lire la suite

Des éponges pour les potiers, des chapeaux de paille pour l’été

Voilà deux objets espérés lorsqu’arrive le mois de mai à Saint-Jean-sur-Richelieu. Le journal de l’endroit s’en fait l’écho. Lire la suite

Connaissez-vous Mark Twain ?

Nous avons évoqué à quelques reprises cet humoriste, romancier et critique social américain (1835-1910), comme le définit mon ami Malcolm Reid. Personnellement, il me fait penser à l’acteur, humoriste et réalisateur américain Bill Murray.

L’éditeur français Cherche Midi vient de publier en 2016 un ouvrage sur ses pensées rassemblées par Hélène Emeret et choisies et présentées par Franz-Olivier Giesbert. Le tout est bâti selon une suite de mots par ordre alphabétique. Voici une bonne idée du ton des écrits de cet homme. J’aime beaucoup. Lire la suite

Dans le quotidien montréalais Le Canada, édition du 5 mai 1903

Le gué

Il fallait passer la rivière,

Nous étions tous deux aux abois.

J’étais timide, elle était fière,

Les tarins chantaient dans les bois. Lire la suite

Un poème de circonstance

Hier après-midi, avait lieu, au salon mortuaire, la rencontre de celles et ceux qui ont connu et aimé l’homme de théâtre Paul Hébert, puis on célébrait ses funérailles à 17 heures. Je vous racontais, il y a quelques jours, mes huit mois de vie avec lui durant l’année 1973 pour l’écriture de la pièce de théâtre Québec, Printemps 1918. Lire la suite

Mai, le mois de Marie

Il y a peu, j’écrivais que, de 1880 à 1910, l’Église catholique avait défini de manière complète et parfaite la vie quotidienne des populations de la vallée du Saint-Laurent au cours d’une année.

Voici un exemple. Le mois de mai est celui où femmes et jeunes filles, en particulier, sont invitées à gagner l’église à tous les soirs.

Avril fuit, mai arrive et le parfum des fleurs, ces sourires de la terre, se mêle aux rayons du soleil.
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Si vous êtes en quête de réflexions intéressantes sur le cheminement, ne vous attardez pas au premier venu

Passez tout de suite aux grands, la vie est courte, fort courte.

En 2008, l’écrivain et essayiste universitaire Normand Baillargeon et les Éditions du Noroît nous ont proposé une bien grosse pointure : Rabindranath Tagore, Bengalais. La sagesse indienne à notre portée.

D’abord, quatorze pages d’introduction où le Québécois nous présente le personnage. Puis nous prenons la route. Lire la suite

La tendresse, le soir venu

Et tout le charme, dirait-on, d’une image ancienne évanescente.