Pourquoi ne pas aller voir le fildeferiste, l’Américain James Hardy, franchir dans les airs la chute Montmorency !
Et on peut maintenant s’y rendre par train plutôt que par bateau.
Le Canada (Montréal), 22 juin 1903.
18 Juin
Et on peut maintenant s’y rendre par train plutôt que par bateau.
Le Canada (Montréal), 22 juin 1903.
17 Juin
Même de surprendre un couple, juin venu, en train de succomber au plaisir, d’assurer la suite, au cœur d’une fleur d’églantier.
D’autres dans la chambre d’à côté ne se laissent distraire par ces émois. Lire la suite
Extraits de ce poème de Pierre Dhainaut, poète et écrivain français, originaire de Lille, de son ouvrage À travers les commencements (1999).
De quel soleil, comme l’aubier, sommes-nous la mémoire ?
L’attention nous allège, nous enracine.
Qui accompagnons-nous dès que nous quittons les routes ? Lire la suite
Jacques Lacarrière (1925-2005), écrivain français, est un passionné de la civilisation grecque. Mais, en 1974, a publié en 1974, chez Fayard, un livre étonnant et attachant, Chemin faisant… 1000 kilomètres à pied à travers la France d’aujourd’hui. J’y reviens souvent pour moi-même et je ne laisserais pas aller mon exemplaire. Lire la suite
L’après-midi a encore été bonne pour le Kent House.
Plus de 3,000 personnes s’y sont rendues pour voir les prouesses de Hardy au-dessus des chutes Montmorency, sur le fil de fer. Mais il y a eu déconvenance pour les curieux. Lire la suite
En son temps, j’ai beaucoup aimé Par le corps de la terre, un livre pour cheminant, un livre pour personne en marche, en quête d’elle-même au fond. Certains en riaient peut-être, je ne sais plus, mais d’autres l’ont trouvé fort utile.
Voici quelques extraits. C’est beaucoup réduire l’ouvrage qui compte 444 pages. Allez, une idée du ton. Le personnage est en quête de sagesse, vit des moments heureux, mais souvent aussi fort difficiles. La cuve à laver. Lire la suite
Quelques lignes anonymes en 1955 la présente ainsi : Lire la suite
14 Juin
Une nouvelle parue dans le quotidien montréalais Le Canada, édition du 13 juin 1903.
Sa très courte réponse à Fantine pourrait s’intituler « Au pays des mots perdus ». Il écrit :
Ce que nous appelons « toques », « gloutons » ou « grachias » sont des fleurs de bardane.
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