Skip to content

Articles de la catégorie ‘La culture’

À Saint-Étienne de Lauzon, près de la Beaurivage

Ce veilleur magnifique ajoutant de la beauté à un lieu déjà beau. Lire la suite

La vie plus vite

Les temps changent, chantait Dylan, il y a bien 50 ans. Au sens même littéral du terme. Voyez cette carte française que me fait parvenir mon fils en me disant simplement : Lyon et Bordeaux se font maintenant en deux heures.

Lire la suite

« Les fleurs au corsage »

C’est une hérésie pour une femme que de n’avoir pas, au printemps, de fleur à son corsage, disait Théophile Gauthier.

Peut-être, de son temps, se paraît-on plus volontiers qu’aujourd’hui de ces bouquets modestes et charmants qui sont à la portée de tous. La violette seule est en faveur chez nous et universellement adoptée, mais une fois la violette passée, on ne porte plus rien ou presque rien. Lire la suite

Un jour, sans être prévenu, la vie nous fait cadeau

Un père apprend à son fils ce qu’il devra faire plus tard. Lire la suite

La tendresse de l’été

Un pur bonheur vécu aujourd’hui

Soudain, à grands cris répétés, les corneilles, jamais tant heureuses au cours d’une année, dirait-on, sont accourues au-dessus de mes grands peupliers baumiers, pour faire une noce. L’heure était vraiment à la joie. Lire la suite

La grande Emily Dickinson qui toujours tient des propos qui ébranlent

Nous passâmes l’école où des enfants jouaient

À lutter dans un cercle ;

Nous passâmes les champs de blé très attentifs,

Et nous passâmes le soleil couchant. Lire la suite

Un billet étonnant sur un métier dont on parle très rarement dans la presse d’hier. Et avec des grandes vérités bien formulées

Une gaffe d’Octave Mirbeau mène à ce propos repris dans un quotidien montréalais. Lire la suite

Le Bateau-Fantôme de la Baie des chaleurs

Gens de la Gaspésie, avez-vous souvenance de cette légende ? L’avez-vous déjà vu, ce bateau ? La Revue d’histoire de la Gaspésie y revient à l’automne 1964. Extraits.

La tradition rapporte que dans les premiers temps de la colonie, un bateau-pirate fut poursuivi par un bâtiment de guerre, et incendié jusqu’à la ligne de flottaison. L’équipage périt jusqu’au dernier homme. Lire la suite

Du quotidien montréalais Le Canada, édition du 3 juillet 1903