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Articles de la catégorie ‘La culture’

Sapré Alphonse !

Alphonse Piché (1917-1998), j’entends. Le poète. Il est né à Chicoutimi, mais s’est retrouvé à Trois-Rivières à l’âge d’un an, je crois bien. Il était à peine plus jeune que mon père, né en 1914. J’aurais bien aimé le rencontrer. Peut-être même l’ai-je croisé sans le savoir. Mais j’ai plusieurs de ses œuvres. Lire la suite

Tel livre de sagesse d’autrefois a-t-il bien traversé le temps ?

Il faut avoir l’honnêteté de se poser la question. Il n’est pas surprenant de constater que certains sont complètement disparus et d’autres n’étaient pas une perte de temps pour qui s’y est attardé. Lire la suite

Êtes-vous de celle qui avez eu un amant, une amante qui vous a comblée de mots d’amour ?

Si oui, vous auriez longtemps échangé avec Mathilde Urrutia.

Le poète chilien Pablo Neruda a connu un amour fou, une soprano mexicaine, Mathilde Urrutia. Incapable de lui décrocher la lune, il lui a fait cadeau de 100 poèmes. Il lui écrit qu’ils lui ont quand même « coûté grand’peine et grand’douleur ». Cependant il ajoute immédiatement : « mais la joie de te les offrir est plus ample qu’une prairie ».

En voici deux : Lire la suite

Des haïkus de Carleton-sur-Mer, en Gaspésie

L’auteure France Cayouette vit à cet endroit, dit le quatrième de couverture de son livre. Pour le haïku, il peut être important de mentionner le lieu de vie de l’auteur, car souvent il décrit en quelques mots un instant qui peut prendre les couleurs de l’endroit.

Mais qu’importe, voici quelques haïkus de cette dame du bord de la mer : Lire la suite

Un Romain épris des choses de la Nature

Nous avons déjà évoqué ce poète philosophe, il y a bientôt trois ans. Mon ami Simon nous avait mis sur la piste de son grand et unique livre disparu pendant plus de 1000 ans.

Cet homme, Lucrèce, vivant dans le siècle violent qui précéda la naissance de l’Enfant, a trouvé refuge, a trouvé santé dans la Nature. Comme l’écrit son préfacier Henri Clouard, il avait été, étant jeune, témoin de massacres, et « assista au déchaînement des pires ambitions et entendit souvent le tumulte des émeutes ». Lire la suite

Toujours, le temps qu’il fait monopolise les conversations

En 1903, voilà des jours et des jours sans pluie. Certains sont heureux, d’autres, pas du tout.

Cette température idéale fait la joie des citadins, des oisifs, des promeneurs et promeneuses qui ont de nouvelles toilettes fraîches et élégantes à lancer, à étaler. Le gaz, la tulle et les toiles transparentes sont à l’ordre du jour dans le monde féminin, tandis que chez le sexe pas beau, les chemisettes (shirt-waists) dont on a tant parlé, il n’y a pas cent ans, sont sur le point d’envahir l’asphalte. […] Lire la suite

Que la condition de têtard est exigeante !

Une mare est une étendue d’eau de faible surface et de peu de profondeur alimentée seulement par la neige fondue et la pluie. Lire la suite

Le chroniqueur Léon d’Ornano, d’origine corse, s’étonne des déménagements du début de mai

Décidément, notre genre de vie moderne a des manifestations qui donnent à réfléchir. À voir Montréal en ces premiers jours de mai, si j’étais un étranger nouvellement débarqué, je pourrais croire à l’exode de sa population. Lire la suite

Des éponges pour les potiers, des chapeaux de paille pour l’été

Voilà deux objets espérés lorsqu’arrive le mois de mai à Saint-Jean-sur-Richelieu. Le journal de l’endroit s’en fait l’écho. Lire la suite

Connaissez-vous Mark Twain ?

Nous avons évoqué à quelques reprises cet humoriste, romancier et critique social américain (1835-1910), comme le définit mon ami Malcolm Reid. Personnellement, il me fait penser à l’acteur, humoriste et réalisateur américain Bill Murray.

L’éditeur français Cherche Midi vient de publier en 2016 un ouvrage sur ses pensées rassemblées par Hélène Emeret et choisies et présentées par Franz-Olivier Giesbert. Le tout est bâti selon une suite de mots par ordre alphabétique. Voici une bonne idée du ton des écrits de cet homme. J’aime beaucoup. Lire la suite