Articles de la catégorie ‘La tendresse’
29 Mai
Jamais les couleurs ne sont aussi tendres qu’en ce moment
Il faut bien en profiter, car, sans même qu’on s’en soit rendu compte, elles se seront approfondies d’ici une quinzaine de jours.
«Écoutez la chanson bien douce…»
Qui ne pleure que pour vous plaire.
Elle est discrète, elle est légère :
Un frisson d’eau sur de la mousse ! Lire la suite
Du poète Eugène Guillevic (1907-1997)
Né dans le Morbihan. Prix Breizh en 1975, Grand prix de poésie de l’Académie française en 1976, Grand prix national de poésie en 1984, Prix Goncourt de la poésie en 1988. Lire la suite
«Abat-jour»
L’homme, Paul Géraldy (1885-1983), fut un grand amoureux. Extrait de son recueil Toi et moi publié en 1912. Lire la suite
29 Avr
Le bonheur de mes trois ânes
Depuis l’automne dernier, je croise trois ânes sur ma route. Je m’y suis arrêté au moins six ou sept fois pour les photographier. Et jamais ne se sont-ils montrés «attentifs» à moi. L’indifférence régnait.
Une femme laide est-elle moins heureuse qu’une belle femme ?
Vous savez comme j’aime Françoise, de son vrai nom Robertine Barry (1863-1910), la première femme journaliste québécoise, originaire de L’Isle-Verte. Ses écrits, fort variés, abondent sur ce site. Durant les années 1890, elle tient une chronique hebdomadaire dans le quotidien montréalais La Patrie. Ses propos sont toujours tellement sensés. On constate aujourd’hui qu’ils vieillissent fort bien. Lire la suite
Ma «tendresse»
Nous sommes devenus amis, elle et moi, le 27 mars. Hier, nous avons passé plus de 20 minutes ensemble.
J’aimerais tant pouvoir savoir comment s’articule sa demeure souterraine, son lieu d’hibernation. Lire la suite
«L’amour dans une loge»
Le vendredi soir, 13 mars 1885, à Montréal, des amoureux se paient une soirée de théâtre pour se faire des tendresses dans une loge à l’avant-scène. Le lendemain, La Patrie y va de ce propos :
Hier soir, pendant la représentation de Nobody’s Claim, au Théâtre Royal, un couple placé dans une loge d’avant-scène attirait l’attention des spectateurs par une conversation amoureuse, et des gestes trahissant les épanchements les plus sympathiques.
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À nouveau, un baiser volé
Il y a un peu plus de 100 ans, on est très sévère à l’égard de ceux et celles qui volent des baisers. Si vous baignez de tendresse pour un George Clooney et une Lady Gaga surgissant soudainement, allez-y doucement, il pourrait vous en coûter cher.
Rappelez-vous l’histoire de ce Provencher, ou de cette Nellie et son amoureux. Voici maintenant qu’un jeune boucher se fait prendre. Lire la suite