Je n’ai jamais vu les Tamias rayés aussi détendus que cette année
À mon grand bonheur.
Enfin !
Ici, ce dernier est bien loin de son terrier, en train de manger des merises.
Le tamia est le petit rongeur dont tout le monde veut la peau.
Mais, cette année, il a développé une confiance incroyable. Sur ma galerie avant, il marche à mes pieds, en train de remplir ses bajoues de graines de tournesol tombées. Il fait provision de ces graines qu’il garde dans son terrier pour l’hiver à venir.
Son pire ennemi est la belette qui le tue et ne lui mange que la tête. Ce dernière serait-elle disparue ? Ses autres ennemis semblent nettement plus calmes à son égard. Même l’écureuil mange à ses côtés sur la galerie avant sans lui courir constamment après.
Les humains ont tellement de ressemblances avec les autres mammifères. Et, ici, la paix semble enfin prendre place.
Il serait donc possible de vivre calmement dans un lieu de feuillus arrivé maintenant à maturité. La douceur et la tendresse permettraient donc chacun de vivre calmement son espérance de vie.