À tant nourrir la déprime fait de nous notre principal ennemi
Vous avez remarqué ? Partout, on dirait qu’on cherche à nous convaincre qu’il n’y a jamais eu de temps plus malheureux. Nous avons complètement échappé la joie. Lire la suite
19 Fév
Vous avez remarqué ? Partout, on dirait qu’on cherche à nous convaincre qu’il n’y a jamais eu de temps plus malheureux. Nous avons complètement échappé la joie. Lire la suite
Sans trop qu’on sache pourquoi. Elles remontent à la mémoire. Comment expliquer d’ailleurs ? Celle-ci, par exemple. Remontant de 1958, il me semble. Lire la suite
30 Jan
La chroniqueure Madeleine [Anne-Marie Gleason] est insultée.
Vous vous souvenez sans doute du chantre breton Théodore Botrel venu avec son épouse au printemps 1903 amasser des fonds pour élever un monument à Jacques Cartier à Saint-Malo. Il a touché une somme folle, quelque chose comme 71 000$ ou 72 000$. Lire la suite
En 1900, traverser en Europe se fait par bateau bien sûr. Et, avec notre tête d’aujourd’hui, on se dit que ça tient de la croisière fort agréable. À l’occasion, bien sûr. Mais pas toujours. Voyez ce témoignage. Lire la suite
Histoire, sans doute, de se donner de l’allant en marchant dans la neige, le plus souvent la nuit. Le Salaberry, le club de raquetteurs de Valleyfield, a demandé, dit-on au poète «J. N. Poitras» de composer un chant qui saurait satisfaire tous ces membres. Lire la suite
La municipalité de Cap-Chat se trouve à 482 km à l’est de Québec, en bordure du fleuve, là où se termine l’estuaire et s’ouvre le golfe. Lire la suite
16 Jan
Étant très jeune, est-ce qu’on vous a chanté des chansons ? Je l’espère pour vous. À mes yeux, elles marquent pour la vie. Tous les autres chants reposeront sur ces premiers.
Un certain Gaston Delorthe réfléchit à ces chansons dans La Patrie du 24 janvier 1903. Lire la suite
12 Jan
Sous le titre Mœurs étranges, Pointe Gatineau, P. Q., La Patrie du 14 janvier 1905 y va de ce texte savoureux sur cette communauté des rives de la rivières des Outaouais. Lire la suite
Retour vers le passé. En 1969, j’habitais Paris avec mon épouse et mon fils d’un an. J’étudiais dans la belle ville. Wight is Wight de Michel Delpech fut un énorme tube. Partout on l’entendait. Véritable ver d’oreille.
Salut Delpech ! Comme Aphrodite’s Child, avec leur It’s five o’clock, tu nous accompagnais. Lire la suite
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