Merci, cher Paul. J’ai beaucoup de Parulines à croupion jaune en ce moment, mais adultes. Je ne savais pas qu’il y a aussi de leurs enfants avec elles.
Même au risque de me tromper, je dirais que les mâles sont les premiers à entreprendre la migration, comme au printemps d’ailleurs. Ensuite, les femelles et les immatures suivent à quelques semaines d’intervalles des mâles. C’est aussi pourquoi l’identification des parulines d’automne est aussi difficile, les jeunes ayant souvent des ressemblances avec les femelles, quand ce n’est pas aussi entre espèces. Dans mon cas, selon les circonstances de l’observation, l’identification peut rester irrésolue.
Pour terminer, je pense que le départ de ces oiseaux enchanteurs se fait en groupes plus lâches qu’au printemps. Car à la mi-mai, plusieurs milliers d’oiseaux peuvent arriver en groupe plus compact en l’espace de deux ou trois nuits.
Salut M. Jean,
Paul
En ce moment, chez moi, il, y a un véritable branle-bas de parulines. Tu ne sais plus à quel saint te vouer. Et elles sont toutes dans le feuillage, à la quête d’insectes (qu’il y a encore en abondance), donc bien difficiles à photographier. Elles ne tiennent pas en place.
Bonjour M. Jean, j’ai la sincère conviction qu’il s’agit d’une Paruline à croupion jaune, probablement une femelle née cet été.
Salutations! Paul
Merci, cher Paul. J’ai beaucoup de Parulines à croupion jaune en ce moment, mais adultes. Je ne savais pas qu’il y a aussi de leurs enfants avec elles.
Même au risque de me tromper, je dirais que les mâles sont les premiers à entreprendre la migration, comme au printemps d’ailleurs. Ensuite, les femelles et les immatures suivent à quelques semaines d’intervalles des mâles. C’est aussi pourquoi l’identification des parulines d’automne est aussi difficile, les jeunes ayant souvent des ressemblances avec les femelles, quand ce n’est pas aussi entre espèces. Dans mon cas, selon les circonstances de l’observation, l’identification peut rester irrésolue.
Pour terminer, je pense que le départ de ces oiseaux enchanteurs se fait en groupes plus lâches qu’au printemps. Car à la mi-mai, plusieurs milliers d’oiseaux peuvent arriver en groupe plus compact en l’espace de deux ou trois nuits.
Salut M. Jean,
Paul
Merci de ces commentaires, cher Paul.
En ce moment, chez moi, il, y a un véritable branle-bas de parulines. Tu ne sais plus à quel saint te vouer. Et elles sont toutes dans le feuillage, à la quête d’insectes (qu’il y a encore en abondance), donc bien difficiles à photographier. Elles ne tiennent pas en place.