Il est étonnant de voir et d’entendre les arbres les jours de grands vents d’ouest, venant de la grande plaine dénudée
Sur la première image, le bouleau blanc est tout à fait immobile, protégé par les plus grands que lui.
Les autres, fouettés littéralement, mènent un vacarme d’enfer, penchant vers l’est.
Le chat, qui avait si peur des grands vents au point de gagner le dessous de la galerie pour se protéger, commence à s’y faire.
Il s’informe tout de même, tournant la tête vers l’ouest.
Pour être franc, quand les grands vents s’élèvent, je lui parle calmement.
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