Autre première : le jeune Oriole de Baltimore (Icterus Galbula, Baltimore Oriole)
En d’autres temps, on l’appelait Oriole du Nord. Allez savoir pourquoi, dans le monde de l’ornithologie, on procède, souvent, à des changements de nom.
Depuis 1985, voici la 21ième observation de cet oiseau. Dix fois en mai, huit fois en juin, et trois fois en juillet. Toutefois, c’est le premier jeunot de cette espèce aperçu ici.
Jamais cet oiseau n’avait été aperçu avant le 11 mai et après le 15 juillet. Et nous sommes le 17 juillet.
2 commentaires
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Belle visite ,ils aiment le nectar pour colibris et la gelée de pomme ! Je n’aime pas les changements de nom pour nos oiseaux ! J ‘aimais et j’aime encore dire… les pinsons mais … devenus des bruants ! grrrrr.. les fauvettes ont mué en parulines, chardonneret des pins =tarin des pins, le bruant des neiges=le plectrophane.. et +++…aussi des changements des plantes, papillons ,les reptiles….Ces transformations sont déconcertantes …sûrement d’autres dans les années futures ! Tout un apprentissage !Jamais j’airai honte de nommer les oiseaux comme j’ai appris ! Beaucoup plus romantique valeur sentimentale , historique ,pas de changement avant 1944 .Des fois mélangée …oups ! De la misère avec les changements de nom … pas le choix de s’adopter et continuer suivre… maintenant on veux tout normaliser .
Ces changements de noms sont vraiment très agaçants. Par exemple, quand j’ai rédigé mes Quatre Saisons dans la vallée du Saint-Laurent durant les années 1980, on disait le Plectrophane des neiges. Soudain, mes quatre livres étant publiés, j’apprends qu’il ne fallait plus dire Plectrophane des neiges, mais Bruant des neiges. C’est gentil comme tout pour les ouvrages déjà publiés. Mais ce n’est pas terminé. Il y a 10 ou 12 ans, ils sont revenus à Plectrophane des neiges, nous disant d’abandonner Bruant des neiges.
Incroyable. Comme si quelqu’un quelque part s’amusait avec les noms de nos oiseaux !