Il n’y a pas qu’au Québec…
Que nous trouvons l’été trop court.
L’été se passe comme une promesse exorbitante de joie parfaite. Et déjà tout est fini. Le mot parfait est celui qui dit quelque chose du paradis perdu, déjà aussi loin « que l’Inde et la Chine ».
Charles Jaigu, « L’été des mots parfaits », Paris, Le Figaro, 4 juillet 2019, p. 19.
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