Et maintenant le Croissant nordique (Phyciodes cocyta)
Il est commun dans l’ensemble des régions méridionales du Québec. L’entomologiste Louis Handfield affirme qu’on peut même l’observer dans les villes, mais il préfère les endroits humides et ouverts, les prés humides, les rivages des ruisseaux et se trouve aussi dans les champs, le long des routes, les prairies herbeuses et les tourbières.
Michel Lebœuf et Stéphane Le Tirant, eux, affirment qu’il connaît habituellement deux générations dans une année, parfois trois, Les adultes de la première volant de la dernière semaine de mai à la deuxième de juillet, et ceux de la seconde, de la mi-juillet à la deuxième de septembre.
Louis Handfield, Les Papillons du Québec, Guide d’identification, Saint-Constant, Éditions Broquet, 2011, p. 177.
Michel Lebœuf et Stéphane Le Tirant, Papillons et chenilles du Québec et des Maritimes, Waterloo, Éditions Michel Quintin, 2012, p. 236.