Un peu de paranormal vous intéresserait ?

À l’heure où la raison s’efface au profit de l’émotion, celle-ci soutenue par les nouveaux médias, ce pourrait peut-être être l’occasion de vérifier que la chose n’est pas nouvelle ? Qui sait ? Pourrions-nous verser à notre tour aujourd’hui dans le paranormal ?

Retrouvons-nous demain soir, le 29 novembre, à 19 heures, à la bibliothèque Monique-Corriveau, à Sainte-Foy, 1100 route de l’Église, une ville-banlieue de Québec avant les fusions, mais faisant maintenant partie de Québec.

Je vous préviens, la soirée porte sur les temps anciens, 1880-1910. Je ne suis qu’historien et n’ai aucune compétence comme analyste, psychanalyste, psychiatre, psychologue et autre travailleur social. Je me refuserais à interpréter le paranormal d’aujourd’hui que vous pouvez avoir vécu ou que vous vivez.

Nous ouvrons un album québécois des temps anciens.

Si ça vous dit, amenez-vous. Ce travail est pour moi en ce moment, humblement, un chantier, un work in progress en anglais disent-ils. Beaucoup, ici comme ailleurs, surtout ailleurs, ont essayé d’arriver à une explication complète du paranormal. Ils n’y sont pas parvenus. Personnellement, j’en suis loin. J’étale, devant moi d’abord, ce dont la presse québécoise de l’époque faisait écho.

Voyons voir. Le sujet est complexe. Dans sa compréhension, est-il possible de passer de ce qui tient de la foi à la raison ? Mystère. Même pour moi encore aujourd’hui. Mais il y a matière à réflexion.

Si ça vous dit. Demain soir, le 29, à 19 heures. C’est gratuit. La réservation est suggérée, mais n’est pas obligatoire.

Je remercie le Conseil québécois du patrimoine vivant, l’Institut canadien de Québec et, à la Bibliothèque Monique-Corriveau, madame Roseline Petitclerc, d’avoir eu cette audace.

Le montage publicitaire, annonciateur, est de l’ethnologue Christine Bricault, du Conseil québécois du patrimoine vivant. Merci à vous. chère Christine.

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