Carouges à épaulettes, Étourneaux sansonnets, Quiscales bronzés, Vachers à tête brune, les voici tous. Et à les entendre, on les dirait vraiment heureux d’un nouveau printemps.
Comme vous, à part du Quiscale bronzé, les oiseaux noirs sont arrivés en grand nombre. Le Merle a fait son apparition vendredi, le Pluvier kildir ce matin. On dirait qu’ils se sont donnés le mot pour arriver ce weekend.
Mon plaisir le matin avant de me lever, la fenêtre grande ouverte, je nomme tous les oiseaux que j’entends. Ce matin, 7 chants différents ont enchantés mon reveil.
D’ici quelques semaines, ce seront les 6 espèces de batraciens qui accompagneront mon coucher tout l’été et là encore, je dois les nommer avant de m’endormir.
Quelle belle nature ! Faut savoir la connaître et l’apprécier.
C’est vraiment intéressant de connaître l’arrivée des oiseaux de printemps chez-vous !
Mon merle n’est pas encore là. Et je n’entends pas encore au loin le Pluvier kildir; dans son cas, je me demande si ce n’est pas à cause de l’épaisseur de neige, il n’aurait rien, pas de sol sous ses pattes, pour trottiner.
Parlant chants, mon Bruant chanteur se fait encore absolument discret, il n’a pas osé y aller de sa ritournelle de rossignol. Je le sens même timide, dirait-on, dans ce concert. Car, effectivement, tout s’anime en ce moment. Mes Chardonnerets jaunes, longtemps silencieux, sont devenus soudain très bavards. Et les quelques Roselins pourprés arrivés hier entremêlent leurs notes aux leurs.
Bref, le bonheur ! C’est bien vrai que l’amour de la Nature est une «poignée» pour l’équilibre mental, qui nous permet de toucher le cœur de la vie.
Comme vous, à part du Quiscale bronzé, les oiseaux noirs sont arrivés en grand nombre. Le Merle a fait son apparition vendredi, le Pluvier kildir ce matin. On dirait qu’ils se sont donnés le mot pour arriver ce weekend.
Mon plaisir le matin avant de me lever, la fenêtre grande ouverte, je nomme tous les oiseaux que j’entends. Ce matin, 7 chants différents ont enchantés mon reveil.
D’ici quelques semaines, ce seront les 6 espèces de batraciens qui accompagneront mon coucher tout l’été et là encore, je dois les nommer avant de m’endormir.
Quelle belle nature ! Faut savoir la connaître et l’apprécier.
C’est vraiment intéressant de connaître l’arrivée des oiseaux de printemps chez-vous !
Vous avez tant raison, chère Nicole !
Mon merle n’est pas encore là. Et je n’entends pas encore au loin le Pluvier kildir; dans son cas, je me demande si ce n’est pas à cause de l’épaisseur de neige, il n’aurait rien, pas de sol sous ses pattes, pour trottiner.
Parlant chants, mon Bruant chanteur se fait encore absolument discret, il n’a pas osé y aller de sa ritournelle de rossignol. Je le sens même timide, dirait-on, dans ce concert. Car, effectivement, tout s’anime en ce moment. Mes Chardonnerets jaunes, longtemps silencieux, sont devenus soudain très bavards. Et les quelques Roselins pourprés arrivés hier entremêlent leurs notes aux leurs.
Bref, le bonheur ! C’est bien vrai que l’amour de la Nature est une «poignée» pour l’équilibre mental, qui nous permet de toucher le cœur de la vie.