Les tout derniers fruits de l’arrière-saison sur le terrain
Quatre baies de pimbina. Toujours là aujourd’hui même. Oubliées par le vieillissement, les oiseaux, les conditions atmosphériques. Une sorte de victoire. Une étonnante pérennité. Un gage aussi.
Toutes les pommes placées depuis novembre dans les fourches des arbres par les écureuils ont été mangées par eux. Ne reste plus que ces fruits, à l’hiver pourtant avancé. Surprenants. Tenaces. Protégés de tout, dirait-on.
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