Un casse-tête de mille morceaux
Les Français disent plutôt un puzzle.
Et le grand bouleau, penché depuis les bordées de décembre dernier qui ne s’est jamais redressé.
5 commentaires
Publier un commentaire
Jean Provencher
- Accueil
- À propos
- L’histoire
- La nature
- La culture
- La famille
- Babillard
- Me joindre
Abonnement RSS
Accès
Recherche
-
Articles récents
- Ils sont trois à dormir sur le toit de la niche de chat.
- La vie a un peu de misère. L’automne est avancé.
- Deux chatons dans la boîte de carton que j’ai mise en place sur la galerie avant.
- La chatte est toujours la dernière à manger des croquettes ; elle aime beaucoup les croquettes. Les autres préfèrent la viande.
- Maintenant tout le monde est à la porte arrière.
- Celui-ci est le septième chat ; il est dans son monde, sur le toit de la niche.
- Et revoici une autre image.
- Ah, mes amis, il y avait beaucoup de chats pour me voir arriver à 10 heures, hier matin, par ce temps de canard.
- La vie qui parle.
- La grande beauté de ces fleurs de rien.
Commentaires récents
- Jean Provencher dans Les fleurs magnifiques en novembre.
- Esther Bourgault dans Les fleurs magnifiques en novembre.
- Jean Provencher dans Les fleurs magnifiques en novembre.
- Pierre Morisset dans Les fleurs magnifiques en novembre.
- Jean Provencher dans Il y avait deux coyotes dans le verger en après-midi. En souhaitant que ce ne soit pas dangereux pour la chatte et les chatons.
- Francine Lessard dans Il y avait deux coyotes dans le verger en après-midi. En souhaitant que ce ne soit pas dangereux pour la chatte et les chatons.
- Jean Provencher dans Ces si petites mouches bleues ou blanches
Catégories
Archives
Liens d'intérêt
- La Fabrique de blogues I Mon hébergeur, à Montréal
Quel beau tableau ! Vite à vos pinceaux !
Un puzzle c’est des heures de plaisir solitaire, une gymnastique de l’esprit qui absorbe et nous passionne. Celui-là ne sera pas complété rapidement, au grand bonheur de son propriétaire.
J’adore, chère Ghys, les casse-têtes. J’en ai toute une collection. Ils nous obligent à une longue démarche que nous pouvons, comment dire, appliquer à d’autres moments dans notre vie. Ils nous forcent à la méditation aussi. J’aime beaucoup.
« Ils nous forcent à la méditation aussi. »
Vous avez osé là où je me suis retenue pour ne pas effrayer le lecteur. Néanmoins, c’est tout à fait cela.
J’ai passé des heures et des heures, attablé à un casse-tête et à cheminer dans ma tête. Ils me furent tellement utiles. Ce n’était vraiment pas qu’un passe-temps.
Je sais …