Changement d’hébergement
Bien oui, en moins de 72 heures, nous sommes passé à un autre lieu d’hébergement. Comme je vous le disais le 26 novembre 2011, changer de serveur est plus complexe que d’attraper le canari, le mettre dans sa cage qu’on dépose sur le siège arrière de la voiture, avant de prendre la route.
Je tiens à dire que j’ai eu un bon service de la firme québécoise iXmédia. Si j’ai quitté cet hébergeur, c’est à cause de la hauteur des tarifs maintenant demandés.
Il m’en coûtait de plus en plus cher, car ce site internet est «lourd». De mots, d’images, de sons et de vidéos. De plus, les visiteurs, étant de plus en plus nombreux, faisaient dépasser la bande passante qui m’était allouée. Aussi me facturait-on régulièrement depuis janvier, ce que je n’avais pas prévu.
Travailleur autonome, j’ai appris au cours de nombreuses années à bien prévoir à l’avance mes paiements à venir, dans quelque domaine que ce soit, pour ne pas faire de dettes. Et les sommes à verser pour ce site étaient devenues imprévisibles. Et pour moi inquiétantes.
Pour régler ce problème, j’aurais pu placarder ce site de publicités, mais je m’y refuse. Me mettre à quêter de l’argent à mes visiteurs, ce qui me répugnerait. Fermer carrément boutique. Ou passer chez un hébergeur aux tarifs beaucoup moindres, et fixes. C’est ce qui est fait.
Me voici maintenant chez HostPapa, prêt pour un nouveau départ.
L’auteur est content, les lecteurs satisfaits! Bravo pour la sage décision.
Il me fallait m’y résoudre, cher Roger. Je n’avais pas le choix. Je risquais, très bientôt, de ne plus avoir les moyens.
Cher Jean,
Tu écris : « … j’ai appris (…) à bien prévoir à l’avance… »
Tu as raison, car prévoir après, c’est risqué.
J’espère que tu ne te formaliseras pas de cette petite pointe ironique !
Meilleur souvenir,
Réginald Martel
C’est l’insistance du travailleur autonome, Réginald, qui en a bavé drôlement. Tu n’as pas connu pareils moments. Faut pouvoir jouer avec la langue, je crois bien.
Si j’en crois la photo, le site est maintenant logé à la Gare du Palais…
Ah, vous avez tout compris, ami précieux. Nous poursuivons ce beau voyage, mais avec un autre train.