Aujourd’hui, sur le babillard
Des sizerins, des sizerins, des sizerins. Par grappes. À chaque silo de chardon. Ou calmement, seul ou en couple, en haut de la pente douce. Des mésanges aussi, beaucoup de mésanges, bien occupées à aller et venir pour pouvoir traverser ce froid. Et le soleil sur la neige au pied des grands faux-trembles.
5 commentaires
Publier un commentaire
Si petits et si jolis, ils embellissent nos journées !
Ah, leur présence m’est chère, Marie.
J’ai dans ma cours cet hiver une colonie de sizerins. C’est un plaisir que de voir ces petits oiseaux si peu sauvages quand nous allons ajouté des grains on pourrait presque les toucher.
Quel bonheur
Tout à fait, chère Nicole. Et, les témoignages le disent, il ne nous perçoit pas comme un ennemi. Je ne sais si vous avez vu la vidéo que j’ai tournée chez moi, voilà deux ans ? Ils fourmillaient, comme aujourd’hui. Ils sont si attachants.
Oui je l’ai vu en effet, une vraie symphonie.
J’ai aussi des juncos et des mésanges à tête noire qui se joignent à ces joyeux visiteurs.
Bonne Journée