Problème d’hébergement pour commencer l’année
Patience, patience, me dis-je. Depuis cette nuit, j’étais sorti des ondes, mon hébergeur du boulevard Charest me faisant défaut, s’étant sans doute enfui avec Boy George après les fêtes de nuit sur la Grande-Allée, à Québec. Plus de neuf heures absent. Malheureux comme les pierres, étais-je, dites-vous ? Est-ce que les pierres, éternelles, peuvent être malheureuses ? Disons que ça me peinait en jaspinas !
Mais tenons bon. Et ne paniquons pas s’il y a encore des interruptions, on va se battre. Et dire qu’à l’époque, il y a 30 ou 35 ans, rappelez-vous, ils nous disaient « Vous allez voir. Avec l’informatique, ce ne sera pas comme avec le téléphone et l’électricité, jamais vous n’aurez de panne. » Véritable chant des sirènes !!! Des violons nous berçaient. Et on les croyait.
Et merci d’être là, vous aussi ! De veiller !
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