Allons-y avec la mention d’hier. Voici le Monarque dans ces fleurs. Nous sommes le 28 septembre. Il reste une vingtaine de minutes à cet endroit et puis il quitte les lieux à son tour en prenant l’allée qui mène à la route. Un autre cadeau.

Ça dépasse vraiment le mois d’août pour les Monarques. Je comprends que le Monarque aime bien une plante qui le nourrit. Mais cette plante n’étant plus là, le Monarque ne déprime pas. Il continue sa vie et prévoit arriver au Mexique même un mois après la disparition de cette plante. Les Monarques sont intelligents, ils ne se laissent pas mourir. Les humains me font bien rire ; ils s’imaginent toutes sortes d’histoires.