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Allons-y avec la mention d’hier. Voici le Monarque dans ces fleurs. Nous sommes le 28 septembre. Il reste une vingtaine de minutes à cet endroit et puis il quitte les lieux à son tour en prenant l’allée qui mène à la route. Un autre cadeau.

Ça dépasse vraiment le mois d’août pour les Monarques. Je comprends que le Monarque aime bien une plante qui le nourrit. Mais cette plante n’étant plus là, le Monarque ne déprime pas. Il continue sa vie et prévoit arriver au Mexique même un mois après la disparition de cette plante. Les Monarques sont intelligents, ils ne se laissent pas mourir. Les humains me font bien rire ; ils s’imaginent toutes sortes d’histoires.

Le premier Monarque prend l’allée et quitte les lieux. Je place ce deuxième dans des fleurs sauvages hautes sur pied. Aussi le chaton ne l’aura pas.

Deux Monarques arrivent. Et je retiens un chaton, car il va tuer ces papillons.

La bagarre éclate. Comme d’habitude. Cette fois-ci sur la galerie arrière.

Le photographe l’occupe.

Oups ! Le chaton s’est calmé.

Un chaton excité d’être présent avec la chatte.

Quelques magnifiques pommes qui se marient bien avec cet endroit.

La chatte sur la galerie arrière.

L’Érable rouge. Au printemps, avant la feuillaison, il produit des fleurs rouges. À l’automne, il y va de feuilles rouges ; beaucoup de feuilles rouges alors que les autres érables n’en produisent pas tant que ça.