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Le chat magnifique dans l’escalier.

Voilà le chat adolescent sous la lampe, à la chaleur.

Les chardonnerets dans les mangeoires de la galerie avant.

Dans la maison, le chat adolescent s’est mis rapidement au sommet de la causeuse, près de la lampe.

J’ai dit au chat adolescent : « Allons vers la maison ».

Dans la mangeoire métallique, les chardonnerets sont maintenant heureux.

J’ai pelleté la neige pour me rendre jusqu’à la mangeoire, vide alors.

Dans la fenêtre à l’étage, un chaton nous voit.

Je suis arrivé hier à 10 heures 10. Le chat adolescent, que je n’avais pas vu depuis cinq jours, vient me saluer et couche même sur mes bottes. Où était-il, je l’ignore. La chatte, elle, qui a refusé d’entrer dans la maison avant-hier, est disparue.

J’ai noté au fil du temps plusieurs passages çà et là sur la création, l’étonnement, le sens du merveilleux et de la découverte.

Voici l’historien, anthropologue et journaliste Emmanuel Todd, né à Saint-Germain-en-Laye le 16 mai 1951. Vous pouvez le retrouver à une page Wikipédia à son nom.

Critiquant l’ouvrage de Lewis S. Feuer, Einstein et le conflit des générations, Emmanuel Todd écrit : « Feuer met l’accent sur un point capital lorsqu’il souligne les fondements infantiles de la curiosité scientifique. Einstein donnait lui-même une explication à sa découverte : « L’adulte normal ne se casse jamais la tête au sujet des problèmes d’espace et de temps. À son sens, tout ce qu’il faut penser à ce propos a déjà été élaboré dans sa petite enfance. Mais moi je me suis développé si lentement que je n’ai commencé à m’interroger sur l’espace et le temps que quand j’étais déjà adulte. En conséquence, j’ai creusé le problème plus à fond que ne l’aurait fait un enfant ordinaire. »

Le Monde (Paris), 17 novembre 1978.

Un magnifique Chardonneret jaune.